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    Ça fait plaisir de le revoir up :)

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      Super article. À une époque, j’étais en BÉPO orthogonal sur TypeMatrix. Mais la généralisation du portable m’a obligé à jongler entre les deux. Au final, j’ai opté pour deux choses:

      • privilégier le modal de vim. (J’utilise Doom Emacs)
      • intervertir Verr. Maj. et Ctrl gauche pour soulager le petit doigt.

      Avec ça, plus besoin de révolutionner le clavier.

      Pendant une crise de TMS, j’ai utilisé Numen pour le contrôle vocal. C’est super ! https://numenvoice.org/

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        Hummm, que j’aime la fin de l’article concernant OpenBSD ;)

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          Et voilà que ça nous reparle d’une des pire plaies du web, les raccourcisseurs d’URL… Pamerci Korben.

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            Ce serait le comble que les hébergeurs de contenu freinent l’utilisation de l’IPv6. D’un autre côté, les réseaux des opérateurs ne leur appartiennent pas. Il suffit de leur couper l’accès à l’Internet en IPv4 s’ils se refusent à migrer vers IPv6. Du coup, leur connectivité IPv4 en serait dégradée. Cela vaut pour les organisations voulant faire profit de la situation ou ceux faisant preuve de mauvaise foi (aucun effort). Pénaliser cela pour défendre l’intérêt général.

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              QUELS SONT LES « SCÉNARIOS DE SORTIE » D’IPv4 PLAUSIBLES ?

              Le scénario de sortie d’IPv4 n’est pas connu et est très difficile à prévoir à ce jour. Si l’on essaie malgré tout d’imaginer les différentes étapes d’un tel scénario, on arrive par exemple à une séquence telle que celle-ci :

              1. La quasi-totalité des offres d’accès internet grand public commercialisées proposent de l’IPv6 activé par défaut en plus de l’IPv4.

              2. La quasi-totalité des offres d’accès internet grand public, pro et entreprise proposent de l’IPv6 activé par défaut. Une connectivité IPv4 est toujours proposée.

              3. Une part non négligeable des sites web sont hébergés en IPv6 uniquement, malgré des poches de résistances à l’IPv6 pour l’accès proposés par quelques entreprises à ses salariés. Ces sites ne sont plus accessibles depuis une entreprise qui bloque l’IPv6.

              4. Une part non négligeable des offres des fournisseurs d’accès à internet ne proposent plus de connectivité IPv4. Il n’est plus possible de consulter des sites web hébergés en IPv4 uniquement.

              5. La majorité des sites web abandonnent IPv4, devenu inutile. IPv4 n’est plus utilisé sur internet, mais peut continuer à être utilisé pour des réseaux privés.

              Source : arcep.fr

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                IPv4 nuit à la compétitivité ou à l’esprit d’innovation. Avec la croissance mondiale de l’accès à l’Internet, on a plus assez d’adresses. Cela remet en question le modèle de l’Internet. Raison pour laquelle on a inventé IPv6 dans les années 90 et dont l’usage est encore à appréhender. On a eu le Web, l’union de l’informatique et des télécommunications, l’apparition des objets connectés (informatique embarquée dans des systèmes électroniques reliés à un réseau informatique), les réseaux sociaux (les espaces d’échanges virtuels ou le phénomène accru de dématérialisation). Ce n’est pas tant le partage de contenu ou la version 6 du protocole IP qui change quoi que ce soit par rapport à l’usage de l’IPv4. Conceptuellement, on échange des données. Mais la version 4 du protocole IP a indubitablement des problèmes inhérents comme celui de l’épuisement de l’espace d’adressage. Ce n’est probablement pas une question de perspective mais de passage à l’échelle.

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                  Que pensez-vous des Shell « Unix » embarqués dans un langage de programmation ? Je n’ai pas un niveau suffisant pour tester mais je trouve que Rash (Reckless Racket Shell) présente un certain attrait. On inverse le raisonnement en maîtrisant d’abord un langage de programmation puis en y intégrant ensuite un langage de commandes. Je serais plus orienté vers Rash que vers Xonsh parce que Racket (variante Scheme) intègre la métaprogrammation.

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                    Un problème, avec la programmation Shell, et non des moindres, est que chacun doit faire sa propre tambouille. J’appréciais beaucoup l’aspect graphique de l’installateur Feliz pour Arch Linux. L’auteur de l’application a arrêté de le maintenir pour problème de santé et dans la dernière version s’était rabattue sur Dialog. Whiptail est une alternative à Dialog. Je trouve qu’il faut contraster les choses par rapport à l’usage du Shell car c’est ardu.

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                      Yo,

                      J’ai fait le nécessaire, petite coquille dans le titre de l’article : “ditribué”.

                      Tcho !

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                            Article à jour, merci :)

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                              Bien sûr, merci pour le retour.

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                                Merci pour le partage, l’approche est concise et plus flexible en effet (utilisable directement avec des commandes passées en arguments). Est-ce que vous m’autorisez à ajouter votre approche à l’article avec en source votre Github (ou autre, comme vous souhaitez)?

                                1. 3

                                  J’utilise un micro script bash pour retenter en erreur: https://github.com/dalibo/docker-buildpack/blob/master/common/retry

                                  Il est en bash strict, 11 lignes. Il attends 0 secondes, puis 1, puis 2, etc. jusqu’à 10s d’attente. Soit un total de 55 secondes avant d’abandonner.

                                  #!/bin/bash -eux
                                  
                                  for s in {0..10} ; do
                                  	if "$@" ; then
                                  		exit 0
                                  	else
                                  		sleep "$s"
                                  	fi
                                  done
                                  
                                  exec "$@"
                                  
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                                    Dans quel cas la couche de persistance d’une application n’est pas capable d’assurer elle même la redondance, et avec un WAL, qui va limiter les soucis de cohérence ?

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                                      J’utilise DRBD depuis des années et c’est vraiment un bon produit. Le truc, c’est plus de pas flipper quand un “split brain” arrive ;)

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                                        Merci pour l’info. Je pourrai pointer ce boitier à d’autres.

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                                          Le problème fondamental de Gemini n’est pas tant le facteur minimaliste que le gel des fonctionnalités. Ce n’est pas je le pense dans cet espace que l’on va intégrer de nouvelles idées ou de différentes manières, on les échange tout au plus. C’est également important de pouvoir réaliser des choses et d’expérimenter, et pas seulement les exprimer ou les retranscrire à travers un texte. Chacun pourrait se réapproprier le Web mais c’est difficile et l’évolution a passé avec son lot de nouveaux défis. Rien que créer un site c’est complexe. Ensuite, il y a le partage d’information qui devient une véritable diffusion ou publication. Pour finir, c’est un peu bateau, mais il faut avoir un sens général ou tracer son chemin.