Je me suis peut être mal exprimé.
Quand je dis ça pour un même VG.
rootvg = 1 disque
datavg = 1 disque
Si tu as rootvg avec 1 disque de 50Go. Tu veux agrandir à 100Go le tout, j’agrandit le VMDK de 50 à 100 puis pvresize.
Je n’ajoute pas un deuxième disque de 50Go et je vgextend mon rootvg
Si vous manquez de place, c’est : On AGRANDIT LE DISQUE, on resize le PV et voila.
Si vous manquez de place, ce N’est PAS : On rajoute un disque et on extend le VG.
Avoir plusieurs disques permet beaucoup plus de finesse :
configuration fine des usages
éviter les problèmes de disque/partition saturé
avoir des disques avec des performances différentes
évite l’impact des problèmes en cas d’erreur de manipulation des vg/lv
Chez nous, on configure de la façon suivante en général :
Un disque général pour tout suffisament grand pour des usages simples + OS
Des disques supplémentaires par type d’usage si consommation de beaucoup de données
Le transfert existant est très généralement vers la messagerie vocale de l’opérateur… Rien d’anormal en soit.
Et les codes ne sont pas universels du tout malheureusement.
OBS Studio dispose de plus de fonctionnalités et est personnalisable via plugins. ET compatible streaming.
Je ne comprends pas la promotion par Korben de ce logiciel, d’autant plus que dans les distributions Linux modernes, qui utilisent Wayland, ce logiciel ne fonctionne pas.
J’ai été surpris de découvrir sur mon Xiaomi qu’un transfert d’appel était apparemment paramétré. J’ai essayé l’option “##002#” qui n’est pas comprise. Idem, impossible de trouver un menu “Transfert d’Appels”. J’avoue ne pas apprécié ni le fait de découvrir que j’ai un autre numéro de phone en transfert, mais l’impossibilité de gérer me pose à la fois problème et question !
Je suis en phase avec toi sur l’idée.
Le souci est que les checks entropiques sont souvent coûteux en ressource, et je ne suis pas certain que ce soit simple à implémenter à l’échelle.
Par contre, il est clair qu’il faut simplifier et donner plus de liberté aux utilisateurs sur le choix de leurs mots de passe :)
Ne pas oublier non plus que la longueur du mot de passe peut compenser la complexité : tant de formulaires réclament quand même un chiffre ou un caractère spécial quand on propose un mot de passe de 128 caractères… l’idéal serait d’exiger une entropie minimale, mais c’est utopique. Il n’empêche que cela permettrait à chacun de proposer des mots de passe forts, avec moins de contraintes (complexité ou longueur).
Chez nous, ou l’on gère un parc conséquent de machines (Plusieurs milliers sur presque des centaines de clients) on est obligé de faire simple et efficace pour s’y retrouver :
PAYS_REGION_ROLE_NUMEROINCREMENTAL
Par exemple pour un hyperv : CHGEHYV01
Pour un DC / FS : CHGEDC01
Pour un applicatif générique : CHLSAP01
Pour un backup : SGBCK01
CHGE (Suisse, Genève)
CHLS (Suisse, Lausanne)
SG (Singapour, on ne regarde pas la région, car on ne s’y déplace pas physiquement tous les 4 matins).
etc …
Parfois, on met le nom de l’applicatif directement dans le serveur, par exemple, dans un abacus en cluster :
CHLSABA01 et CHLSABA02
Je voulais vraiment un truc super simple à mettre en place et sans maintenance, du coup j’ai préféré aller vers Stacks.
Une mise à jour majeur ça doit pas arriver tout les 4 matins, généralement ça dure plusieurs années. Donc bon, ça me parait carrément raisonnable comme prix ;)
À partir d’un certain nombre de serveurs c’est totalement contre-productif d’utiliser des noms de dieux/héros/pays/others, qui va se souvenir que les dieux sont les serveurs PostgreSQL, les héros les serveurs web, etc.
On cherche tous à nommer les serveurs en précisant leur(s) fonction(s), il ne faut donc pas hésiter à faire simple : postgresql7, dns1, vpn2, dhcp1, ntp1… Le souci c’est qu’on peut avoir plusieurs applications/services sur un serveur, on perd le côté propre/logique dans le nommage. Bah ouais rien n’est parfait, il faut juste chercher à être le plus propre/logique pour le nommage et puis on fera avec.
Un S-L-T-BDD-PG01 serait chez moi TEST-PG01 parce que a/ On sait que c’est un serveur (implicite) donc je garde pas le S b/ Serveurs Linux la norme chez moi donc je garde pas le L c/ T (pour test) je garde, je garde pas PROD car c’est la norme d/ BDD je garde pas car PG01 donne l’info implicitement.
Vouloir préciser trop de choses dans le nom est une mauvaise idée d’après mon expérience, trop de changements possibles lors du cycle de vie d’un serveur. Par exemple foutre le nom de l’application ou du service genre GLPI, CIEL part du principe que ça ne changera pas. Je préfère COMPTA, RH…
Pour plus de lisibilité, je commence par les abréviations.
J’ai horreur d’une seule lettre comme abréviation, je n’ai pas souvenir avoir vu des serveurs avec des abréviations sur une seule lettre. J’ai aussi une mauvaise mémoire et mon cerveau est pas très rapide, quand je vois S-L-T-WEB01 je dois faire un effort intellectuel car je n’arrive pas à “lire” directement.
Les abréviations que je préfère : PST pour poste, PRT pour portable, SRV pour serveur, LN pour Linux, NT pour Windows, VM pour machine virtuelle, SB pour sandbox (machine de tests en général pour les devs), HY pour hypervisor, BDD pour bases de données, WEB pour serveurs web, PROD, TEST.
La plupart du temps utiliser SRV est inutile car souvent on le sait, c’est implicite, SRV-DC01 serait DC01 chez moi. Souvent il y a une majorité de serveurs Windows ou Linux pourquoi leur mettre une abréviation ? Je ne mets une abréviation qu’à ceux qui ne sont pas de la majorité de serveurs ainsi si la majorité est du Windows je ne préfixe que les serveurs Linux. Pareil pour PROD je ne le mets pas car c’est la norme chez moi, je ne mets que TEST.
Contenu payant => Accès libre à présent.
Tcho !
Contenu payant => Accès libre à présent.
Tcho !
Contenu payant => Accès libre à présent.
Tcho !
Ce choix … Flutter ou react, la peste ou le choléra. Je regrette le temps ou Qt/Qml avait de l avenir en cross platform.
Je me suis peut être mal exprimé. Quand je dis ça pour un même VG. rootvg = 1 disque datavg = 1 disque
Si tu as rootvg avec 1 disque de 50Go. Tu veux agrandir à 100Go le tout, j’agrandit le VMDK de 50 à 100 puis pvresize. Je n’ajoute pas un deuxième disque de 50Go et je vgextend mon rootvg
Je ne suis d’accord avec ça :
Si vous manquez de place, c’est : On AGRANDIT LE DISQUE, on resize le PV et voila. Si vous manquez de place, ce N’est PAS : On rajoute un disque et on extend le VG.
Avoir plusieurs disques permet beaucoup plus de finesse :
Chez nous, on configure de la façon suivante en général :
Le transfert existant est très généralement vers la messagerie vocale de l’opérateur… Rien d’anormal en soit. Et les codes ne sont pas universels du tout malheureusement.
OBS Studio dispose de plus de fonctionnalités et est personnalisable via plugins. ET compatible streaming. Je ne comprends pas la promotion par Korben de ce logiciel, d’autant plus que dans les distributions Linux modernes, qui utilisent Wayland, ce logiciel ne fonctionne pas.
Merci pour cet article intéressant.
J’ai été surpris de découvrir sur mon Xiaomi qu’un transfert d’appel était apparemment paramétré. J’ai essayé l’option “##002#” qui n’est pas comprise. Idem, impossible de trouver un menu “Transfert d’Appels”. J’avoue ne pas apprécié ni le fait de découvrir que j’ai un autre numéro de phone en transfert, mais l’impossibilité de gérer me pose à la fois problème et question !
Je ne connaissais pas ce projet. Ça a l’air sympa !
Merci pour le partage :)
Ça marche très bien ce genre de check https://github.com/dropbox/zxcvbn
Hello,
Je suis en phase avec toi sur l’idée. Le souci est que les checks entropiques sont souvent coûteux en ressource, et je ne suis pas certain que ce soit simple à implémenter à l’échelle.
Par contre, il est clair qu’il faut simplifier et donner plus de liberté aux utilisateurs sur le choix de leurs mots de passe :)
Ne pas oublier non plus que la longueur du mot de passe peut compenser la complexité : tant de formulaires réclament quand même un chiffre ou un caractère spécial quand on propose un mot de passe de 128 caractères… l’idéal serait d’exiger une entropie minimale, mais c’est utopique. Il n’empêche que cela permettrait à chacun de proposer des mots de passe forts, avec moins de contraintes (complexité ou longueur).
Bonjour,
Chez nous, ou l’on gère un parc conséquent de machines (Plusieurs milliers sur presque des centaines de clients) on est obligé de faire simple et efficace pour s’y retrouver :
PAYS_REGION_ROLE_NUMEROINCREMENTAL
Par exemple pour un hyperv : CHGEHYV01 Pour un DC / FS : CHGEDC01 Pour un applicatif générique : CHLSAP01 Pour un backup : SGBCK01
CHGE (Suisse, Genève) CHLS (Suisse, Lausanne) SG (Singapour, on ne regarde pas la région, car on ne s’y déplace pas physiquement tous les 4 matins).
etc …
Parfois, on met le nom de l’applicatif directement dans le serveur, par exemple, dans un abacus en cluster : CHLSABA01 et CHLSABA02
Je voulais vraiment un truc super simple à mettre en place et sans maintenance, du coup j’ai préféré aller vers Stacks.
Une mise à jour majeur ça doit pas arriver tout les 4 matins, généralement ça dure plusieurs années. Donc bon, ça me parait carrément raisonnable comme prix ;)
Je l’ai rapidement testé, mais j’ai pas trop aimé l’ergonomie perso ^^
Ou sinon Wekan aussi opensource et très facilement déployable https://github.com/wekan/wekan
Mais payer 49€ pour CHAQUE mise à jour majeur, je trouve ça abusé de la part de Stacks !!!!
Sinon, y a Taiga https://www.taiga.io/ en licence MPL
Le nommage.
À partir d’un certain nombre de serveurs c’est totalement contre-productif d’utiliser des noms de dieux/héros/pays/others, qui va se souvenir que les dieux sont les serveurs PostgreSQL, les héros les serveurs web, etc.
On cherche tous à nommer les serveurs en précisant leur(s) fonction(s), il ne faut donc pas hésiter à faire simple : postgresql7, dns1, vpn2, dhcp1, ntp1… Le souci c’est qu’on peut avoir plusieurs applications/services sur un serveur, on perd le côté propre/logique dans le nommage. Bah ouais rien n’est parfait, il faut juste chercher à être le plus propre/logique pour le nommage et puis on fera avec.
Un S-L-T-BDD-PG01 serait chez moi TEST-PG01 parce que a/ On sait que c’est un serveur (implicite) donc je garde pas le S b/ Serveurs Linux la norme chez moi donc je garde pas le L c/ T (pour test) je garde, je garde pas PROD car c’est la norme d/ BDD je garde pas car PG01 donne l’info implicitement.
Vouloir préciser trop de choses dans le nom est une mauvaise idée d’après mon expérience, trop de changements possibles lors du cycle de vie d’un serveur. Par exemple foutre le nom de l’application ou du service genre GLPI, CIEL part du principe que ça ne changera pas. Je préfère COMPTA, RH…
Pour résumer : PST123, PRT456, TEST-WEB1, WEB1, DNS1, HY3, MYSQL8, POSTGRESQL4, SB-LTORVALDS (sandbox Linus Torvalds)…
Tcho !
Salute,
Pour plus de lisibilité, je commence par les abréviations.
J’ai horreur d’une seule lettre comme abréviation, je n’ai pas souvenir avoir vu des serveurs avec des abréviations sur une seule lettre. J’ai aussi une mauvaise mémoire et mon cerveau est pas très rapide, quand je vois S-L-T-WEB01 je dois faire un effort intellectuel car je n’arrive pas à “lire” directement.
Les abréviations que je préfère : PST pour poste, PRT pour portable, SRV pour serveur, LN pour Linux, NT pour Windows, VM pour machine virtuelle, SB pour sandbox (machine de tests en général pour les devs), HY pour hypervisor, BDD pour bases de données, WEB pour serveurs web, PROD, TEST.
La plupart du temps utiliser SRV est inutile car souvent on le sait, c’est implicite, SRV-DC01 serait DC01 chez moi. Souvent il y a une majorité de serveurs Windows ou Linux pourquoi leur mettre une abréviation ? Je ne mets une abréviation qu’à ceux qui ne sont pas de la majorité de serveurs ainsi si la majorité est du Windows je ne préfixe que les serveurs Linux. Pareil pour PROD je ne le mets pas car c’est la norme chez moi, je ne mets que TEST.
Tcho !