J’aurai tendance à voir les choses ainsi :
Dans le même genre, il existe aussi un outil fourni par systemd (et donc installé de base sur pas mal de distributions) : systemd-detect-virt
Je suis peut-être pas à jour, mais j’utilise LVM pour la simplicité pour redimensionner les volumes logiques sur la partition. Je me suis pas renseigner des fonctions du BTRFS dans le domaine. C’est possible que c’est une surcouche inutile.
Avec LVM, tu peux en effet redimensionner les volumes logiques plus facilement que s’il s’agissait d’une partition, car sur le disque, il n’est pas utilisé de la même façon. C’est un des avantage de LVM par rapport à un schéma de partitionnement classique. Dans le cas du tutoriel que tu rédiges, tu ne fais qu’une seule partition. Cette partition est divisée en “subvolumes” BTRFS. Avec des sous-volumes, l’espace est mutualisé et tu ne possèdes au final qu’une seule “partition”. En remplissant de données le sous-volume @home, tu diminues l’espace disponible de @ où se trouve ta racine. Par conséquent, la couche LVM ici est inutile. Je ne suis pas certain que faire sans améliore les performances du système de manière significative, mais cette surcouche ajoute une coomplexité, sans ajouter de fonctionalités en soi, d’autant plus que les “volumes logiques” et “partitions” sont sur un volume chiffré. Par contre, sur un système sans chiffrement, je pense que les bénéfices de BTRFS (par rapport à LVM+BTRFS) est important car BTRFS pourra positionner les données directement comme il l’entend sur le disque à l’emplacement physique adéquat.
Petite question : quel est l’intérêt de mettre du btrfs dans lvm ? Sachant que tu peux mettre un système de fichier directement sur le volume LUKS (tout comme le pv a été créé sur celui-ci) et qu’il n’y a pas de “partition” swap. Un LVM avec qu’un seul LV semble un peu inutile, je n’ai pas saisi pourquoi cette complexité. Sachant que BTRFS va supporter les éventuelles fonctions que LVM permet déjà (comme les snapshots ou le “raid” logiciel)
La table des matières du site Web qui s’éclipse incessamment perturbe le lecteur. Insatisfait, je la supprime avec l’inspecteur du navigateur Web (« Inspecter » dans le menu contextuel).
À notre époque, ce n’est pas suffisant de « faire » les choses. À mon sens, il faut pouvoir disposer de nouvelles bases pour appréhender l’évolution des sociétés industrielles actuelles. Sinon, vous préconisez la même approche que Microsoft, à savoir, déplacer les problèmes conceptuels. En d’autres termes, vous laissez les autres décider pour vous sur des issues potentiellement majeures dans les années qui arrivent. Comme le grand fortuné Elon Musk qui pense que pour pouvoir vivre convenablement dans le futur robotisé, il faudra sûrement s’équiper de puces électroniques implantées dans le cerveau humain. Ou le fantasque Mark Zuckerberg qui se demande si nous ne vivons pas déjà dans son Metavers.
GNU/Linux, Linux, GNU, car à l’origine la distinction existe, de facto. Selon l’environnement, on peut assembler son propre système d’exploitation, et donc, changer son fonctionnement (ce qui ressort aussi dans le propos de l’article).
Après, je n’ai pas de solutions. Jetez un coup d’œil sur le site Web du projet GNU.
C’est mon CMS qui fait clignoter la table des matières, c’est corrigé dans la prochaine version mais je n’ai pas de temps à consacrer à la migration pour le moment (qui échoue). Donc ça reste comme ça pour le moment. La classe est commentée mais le cache reste effectif dans le CMS et dans le serveur web. Ca clignotera plus bientôt, mais je sais pas à quoi ça va ressembler
Je débute donc je ne pourrais pas vraiment aider. Il semblerait que ce soit une animation définie en CSS dans le fichier default.css
placé dans un répertoire templates/default/theme/
.
.blink {
animation: blink 1.5s ease-in-out infinite;
-moz-animation: blink 1.5s ease-in-out infinite;
-webkit-animation: blink 1.5s ease-in-out infinite; }
Effectivement, c’est bien cette section que j’ai commentée. Malgré cela et le vidage du cache du CMS et du serveur web, cette portion de code s’affiche toujours dans le CSS retourné au navigateur.
N’étant pas développeur du CMS utilisé, je n’ai pas la réponse à la problématique, cependant le thème de la version 6 ne semble pas avoir de table des matières clignotantes.
Edit: J’ai modifié le fichier TPL, et retitré la classe “blink”, c’est plus efficace :)
évidemment, un ZIP comme ça les permissions et droits ne sont pas conservées! Intelligent. Lors de la restauration, il faudra réaffecter les droits. Avec une archive TAR (éventuellement compressée), les permissions sont conservées !
Flatpak c’est pas mal dans deux cas de figure. 1) Quand il faut installer des bousins propriétaires comme Teams, Skype, Zoom ou Spotify, et 2) Quand on a une appli avec des dépendances complexes et qu’on n’arrive plus à compiler une version récente sur sa distrib (comme Darktable > 4.0 sur une base RHEL 8.x par exemple). Ce qui est bien avec Flatpak, c’est que ça t’installe toute l’appli dans une sorte de bac à sable à part, ce qui peut être une base pratique pour isoler certaines applis potentiellement intrusives comme Skype.
Ceci étant dit, la tendance des distributions à aller de plus en plus vers ce format (ou vers Snap) pour leurs “App Stores” me paraît assez funeste. Faudrait rappeler aux mainteneurs des distributions la signification de “partagées” dans “bibliothèques partagées”.
Je suis d’accord pour les Flatpak, très pratique pour les logiciels propriétaires.
Le fait d’aller vers ce format est je pense la course à la nouvelle technologie. Si une nouvelle version d’un logiciel a besoin d’un Qt plus récent par exemple, il est pris directement via le framework disponible en flatpak et on peut s’affranchir d’une bibliothèque obsolète sur le système source. Je peux comprendre que certains restent sur une Debian stable par exemple tout en voulant des logiciels un poil plus récent qui corrigent parfois des bugs ou ajoutent des fonctionalités intéressantes. Dans le cas d’un LibreOffice sous Debian, il y a en effet les DEB du site tu me diras, mais s’il y a une bibliothèque pas assez récente sur le système, tu es coincé. Je privilégierais un Flatpak sur une base Debian au lieu d’un PPA ou dépôt tiers, qui causera, pour un logiciel, moins de soucis sur le long terme (car rappelons le, on n’installe pas son système toutes les semaines)
Il y a aujourd’hui tellement de petits logiciels qu’il n’est plus possible pour les distributions de tout packager elle-même. Certains logiciels évoluent rapidement et c’est compliqué de les avoir à jour dans les distro (si déjà ils sont présents dans les dépôts car c’est pas forcément le cas).
En tant que développeur d’application, je vois un autre intérêt à Flatpak : je peux packager moi-même mon logiciel d’une manière compatible avec toutes les distributions. À une époque j’avais un PPA pour Ubuntu, des paquets AUR pour ArchLinux, quelques RPM (pas trop dans les règles de l’art) pour Fedora / Mageia, etc. Mais je n’ai plus le temps de m’occuper de tout ça.
Pour moi flatpak a 3 avantages :
*Intégrateur/analyste/admin/what else hors Dev, c’est un Devops maintenant ^^, mais ceci est un autre débat
Bonjour.
Sinon, il y a aussi “BorgWeb” - officiellement toujours en phase de developpement :
La page du wiki du projet sur Git recense tous les projets additionnels dont celui que tu décris :
Exact il y a plein d’outils, la doc ne manque pas. Pika Backup étant dispo en flatpak, on le retrouve partout sans prise de tête. Son interface simple comme le reste des applis GNOME fait qu’il est facile à prendre en main. C’est pour cela que je le présente sur mon site :)
Sur ce genre de matos tout va bien, par contre avec le matos Pioneer DJ, ça devient un peu plus compliqué :)
Oui CF : https://www.journalduhacker.net/s/j7oetp/linux_djing_streaming_twitch_essayons
Linux reconnait parfaitement le matériel, il n’y a aucun souci. Que ce soit Hercules présenté par Benzo ou Pioneer dans mon cas.
Sans parler du streaming, Mixxx souffre de latence lorsqu’on utilise un contrôleur (donc logiciel indispensable) qui ne permet clairement pas de mixer dans des conditions optimales. Mais on en revient toujours au même concernant les conclusions : Le problème n’est pas la reconnaissance du matériel sous Linux, mais belle et bien l’offre logicielle. Avec Pioneer, les mappings ne sont pas tous reconnus et fonctionnels. Il en était de même avec Hercules (j’avais testé le Universal DJ que j’ai toujours dans un carton à la maison)
Rekordbox, et Serato ne sont pas dispo sous Linux pour Pionneer, il en est de même pour DJuced pour Hercules.
Chtite suggestion. Sur les postes clients Linux dont je dois assurer la télémaintenance en mode graphique, j’utilise Anydesk, qui fonctionne à merveille.
L’article était pour répondre à un besoin particulier. Mais en effet je préfère largement Anydesk qui est fonctionnel correctement et disponible directement en flatpak. D’ailleurs j’ai mis la petite phrase dans l’intro “A noter que je préfère personnellement Anydesk qui est disponible directement en Flatpak.”
Je ne suis d’accord avec ça :
Si vous manquez de place, c’est : On AGRANDIT LE DISQUE, on resize le PV et voila. Si vous manquez de place, ce N’est PAS : On rajoute un disque et on extend le VG.
Avoir plusieurs disques permet beaucoup plus de finesse :
Chez nous, on configure de la façon suivante en général :
Je me suis peut être mal exprimé. Quand je dis ça pour un même VG. rootvg = 1 disque datavg = 1 disque
Si tu as rootvg avec 1 disque de 50Go. Tu veux agrandir à 100Go le tout, j’agrandit le VMDK de 50 à 100 puis pvresize. Je n’ajoute pas un deuxième disque de 50Go et je vgextend mon rootvg
OBS Studio dispose de plus de fonctionnalités et est personnalisable via plugins. ET compatible streaming. Je ne comprends pas la promotion par Korben de ce logiciel, d’autant plus que dans les distributions Linux modernes, qui utilisent Wayland, ce logiciel ne fonctionne pas.
Oui et dans le cas où on utilise ce système parce que les applis qui tournent dessus ne sont pas encore migrées et qu’on a besoin d’outils à installer, ça peut toujours être utile. Après dans le monde entreprise il y a plein de cas où des systèmes obsolètes tournent encore, le cloisonnement réseau via VLAN, parefeu, ou WAF dans le cas d’un applicatif rendent moins vulnérables des systèmes qui peut être complexes à migrer (soit techniquement, soit logiciellement, soit au niveau des moyens humains)
Et … quand tu veux réinstaller ton système en gardant ton home, (qui serait situé sur un sous-volume @home) tu procède comment ? Idem dans le cas d’un dual-boot avec un home commun ?
Ahhh, bonne question. J’ai toujours le réflexe de créer une partition dédiée, quelque soit le FS ! ;)
Comme l’article était déjà assez long, j’ai décidé de garder la mise en pratique pour un second article.
Pour répondre à ta question, dans le cas de Ubuntu, il crée automatiquement des volumes @ et @home. Et s’ils sont déjà présents dans la partition, il va les remplacer (et donc en effacer le contenu). Il faudra donc renommer le sous-volume @home (avec la commande mv ou via un navigateur de fichier) avant de procéder à la réinstallation.
Dans le cas de Fedora, l’installateur à une meilleur intégration de Btrfs et on peut créer et sélectionner des sous volumes pour le système, les données, etc. Donc à priori pas de problème (note : j’ai juste testé l’installation de Fedora avec Btrfs, pas sa réinstallation contrairement à Ubuntu)
Pour ce qui est du cas du home partagé entre 2 distributions Linux. À part faire attention à ne pas écraser le sous volume @home, je ne pense pas que ça pose de problème. Il suffira de crée un volume @distrib1 et un autre @distrib2 pour chacun des 2 systèmes. Ça sera plus ou moins simple à faire suivant comment Btrfs est pris en charges par les installateurs des deux distribs.
Les éditeurs de navigateur dont la vie privée est leur obsession (Vivaldi notamment) le désactiveront (c’est déjà le cas). Si on utilise Google Chrome c’est en principe pour bénéficier des services Google ou que la vie privée, on s’en fout. Ceci n’est que mon avis, mais on a l’embarras du choix des navigateurs basés sur Chrom(ium)e donc chacun trouvera son bonheur
C’est sûr que les personnes qui s’intéressent un minimum au respect de leur vie privée n’utiliseront pas Chrome. Et il existe d’autres navigateurs comme Ungoogled Chromium ou Brave qui sont plus respectueux dans ce cas-là.
Wow, génial. Je ne connaissais pas, et ça me sort une sacrée épine du pied. Parce que là je me fais chier avec ma clé USB bootable FreeDOS sur laquelle je copie manuellement les EXE de flashage du BIOS. Et encore, ça ne fonctionne pas à tous les coups.
Franchement, merci !
Il faut que les constructeurs contribuent, mais c’est le cas pour DELL, LENOVO et HP. A noter que GNOME Logiciels sous Fedora intègre nativement le truc et en graphique !
Quid de Vivaldi ? https://vivaldi.com/fr/features/privacy-security/
“Dans ce tutoriel nous allons voir comment configurer des Virtual Host avec Centos et Apache en 7 étapes.” Pourquoi faire un nouveau tutoriel sur une distribution qui est obsolète ? La dernière version de Centos (7) n’est plus supportée depuis juin 2024