Logo journal du hacker middle
  1. 8
  1.  

  2. 5

    Certes l articles est un poil agressif. Mais pas plus que tous ces justiciers de la bien séance. Il y a eu certes des abus, mais la on saute d un extrême à l autre.

    Dernièrement je me suis fait envoyé chier pour une contribution avec un slave/master (ajout d un protocol SPI). Perso, quand je vois ces chartes, et trois kilomètres de bien pensée à lire avant de contribuer, j ai la nausée. Et je m’arrete la.

    1. 2

      SJW = Social Justice Warrior. Humm je trouve cet article très mauvais.

      Tcho !

      1. 1

        Oui, la forme est très mauvaise, agressive et manque sa cible. Alors que le problème d'entrisme de certains et d'agenda politiques imposés à des contributeurs bénévoles est hélas devenu réel dans le monde du logiciel libre, rebutant certains.

        1. 1

          Merci, parce que les abréviations de partout , surtout avec des mots anglais : j'ai du mal et je suis surement pas le seul

          Jamais entendu ce terme ..

        2. 2

          Si le projet “kernel linux”, ses mailing-list et les échanges entre contributeurs peuvent être plus cordiaux, il va attirer plus de contributeurs, et la qualité du code va être augmentée. Il oublie que, plus il y a de reviews, meilleure sera la qualité du code final.

          Les “mâles blancs hétéros” font tourner linux ? Sans doute, et c'est inquiétant que cela soit revendiqué dans cet article (implicitement) ou dans certains commentaires ici (explicitement). Quelle fierté aurait-on à ça ? Cela démontre au contraire à quel point ces “mâles blancs hétéros” ont si peu d'assurance que prôner l'ouverture les met tellement en danger ! Et ça n'est pas parce que des contributeurs sont gay, black ou des femmes que Linux va devenir “rose flashy”.

          Les raisonnements de cet article sont complètement idiots: qualifier de “fascisant” quelques règles qui demande d'accepter la critique, d'éviter les images sexistes, le trolling et et les insultes n'honore pas vraiment son auteur.