Les défauts présentés sont, il me semble, justement traités par le RGPD.
Pour être conforme au RGPD, le consentement doit être “libre et éclairé”. Plus de fabrication de consentement donc (en théorie du moins).
Tout service devra être utilisable sans consententement au traitement de données non indispensables. Dans l'exemple du métro londonien, un passager doit pouvoir emprunter le métro sans que son identité soit liée aux trajets qu'il fait. RMS pense que “le système de transport peut justifier cette pratique en vertu des règles du RGPD”. Je pense qu'il se trompe : le service ne saurait justifier l'indispensabilité de données personnelles là où des services équivalents (métro de Paris au hasard) permettent aux passagers d'utiliser des tickets anonymes.
Les défauts présentés sont, il me semble, justement traités par le RGPD.
Quand je pense que RMS n'avait rien contre l'envoi spontané à des adresses e-mails d'informations commerciales non sollicitées… Quel troll ;)