Pour plus de lisibilité, je commence par les abréviations.
J’ai horreur d’une seule lettre comme abréviation, je n’ai pas souvenir avoir vu des serveurs avec des abréviations sur une seule lettre. J’ai aussi une mauvaise mémoire et mon cerveau est pas très rapide, quand je vois S-L-T-WEB01 je dois faire un effort intellectuel car je n’arrive pas à “lire” directement.
Les abréviations que je préfère : PST pour poste, PRT pour portable, SRV pour serveur, LN pour Linux, NT pour Windows, VM pour machine virtuelle, SB pour sandbox (machine de tests en général pour les devs), HY pour hypervisor, BDD pour bases de données, WEB pour serveurs web, PROD, TEST.
La plupart du temps utiliser SRV est inutile car souvent on le sait, c’est implicite, SRV-DC01 serait DC01 chez moi. Souvent il y a une majorité de serveurs Windows ou Linux pourquoi leur mettre une abréviation ? Je ne mets une abréviation qu’à ceux qui ne sont pas de la majorité de serveurs ainsi si la majorité est du Windows je ne préfixe que les serveurs Linux. Pareil pour PROD je ne le mets pas car c’est la norme chez moi, je ne mets que TEST.
À partir d’un certain nombre de serveurs c’est totalement contre-productif d’utiliser des noms de dieux/héros/pays/others, qui va se souvenir que les dieux sont les serveurs PostgreSQL, les héros les serveurs web, etc.
On cherche tous à nommer les serveurs en précisant leur(s) fonction(s), il ne faut donc pas hésiter à faire simple : postgresql7, dns1, vpn2, dhcp1, ntp1… Le souci c’est qu’on peut avoir plusieurs applications/services sur un serveur, on perd le côté propre/logique dans le nommage. Bah ouais rien n’est parfait, il faut juste chercher à être le plus propre/logique pour le nommage et puis on fera avec.
Un S-L-T-BDD-PG01 serait chez moi TEST-PG01 parce que a/ On sait que c’est un serveur (implicite) donc je garde pas le S b/ Serveurs Linux la norme chez moi donc je garde pas le L c/ T (pour test) je garde, je garde pas PROD car c’est la norme d/ BDD je garde pas car PG01 donne l’info implicitement.
Vouloir préciser trop de choses dans le nom est une mauvaise idée d’après mon expérience, trop de changements possibles lors du cycle de vie d’un serveur. Par exemple foutre le nom de l’application ou du service genre GLPI, CIEL part du principe que ça ne changera pas. Je préfère COMPTA, RH…
Chez nous, ou l’on gère un parc conséquent de machines (Plusieurs milliers sur presque des centaines de clients) on est obligé de faire simple et efficace pour s’y retrouver :
PAYS_REGION_ROLE_NUMEROINCREMENTAL
Par exemple pour un hyperv : CHGEHYV01
Pour un DC / FS : CHGEDC01
Pour un applicatif générique : CHLSAP01
Pour un backup : SGBCK01
CHGE (Suisse, Genève)
CHLS (Suisse, Lausanne)
SG (Singapour, on ne regarde pas la région, car on ne s’y déplace pas physiquement tous les 4 matins).
etc …
Parfois, on met le nom de l’applicatif directement dans le serveur, par exemple, dans un abacus en cluster :
CHLSABA01 et CHLSABA02
Salute,
Pour plus de lisibilité, je commence par les abréviations.
J’ai horreur d’une seule lettre comme abréviation, je n’ai pas souvenir avoir vu des serveurs avec des abréviations sur une seule lettre. J’ai aussi une mauvaise mémoire et mon cerveau est pas très rapide, quand je vois S-L-T-WEB01 je dois faire un effort intellectuel car je n’arrive pas à “lire” directement.
Les abréviations que je préfère : PST pour poste, PRT pour portable, SRV pour serveur, LN pour Linux, NT pour Windows, VM pour machine virtuelle, SB pour sandbox (machine de tests en général pour les devs), HY pour hypervisor, BDD pour bases de données, WEB pour serveurs web, PROD, TEST.
La plupart du temps utiliser SRV est inutile car souvent on le sait, c’est implicite, SRV-DC01 serait DC01 chez moi. Souvent il y a une majorité de serveurs Windows ou Linux pourquoi leur mettre une abréviation ? Je ne mets une abréviation qu’à ceux qui ne sont pas de la majorité de serveurs ainsi si la majorité est du Windows je ne préfixe que les serveurs Linux. Pareil pour PROD je ne le mets pas car c’est la norme chez moi, je ne mets que TEST.
Tcho !
Le nommage.
À partir d’un certain nombre de serveurs c’est totalement contre-productif d’utiliser des noms de dieux/héros/pays/others, qui va se souvenir que les dieux sont les serveurs PostgreSQL, les héros les serveurs web, etc.
On cherche tous à nommer les serveurs en précisant leur(s) fonction(s), il ne faut donc pas hésiter à faire simple : postgresql7, dns1, vpn2, dhcp1, ntp1… Le souci c’est qu’on peut avoir plusieurs applications/services sur un serveur, on perd le côté propre/logique dans le nommage. Bah ouais rien n’est parfait, il faut juste chercher à être le plus propre/logique pour le nommage et puis on fera avec.
Un S-L-T-BDD-PG01 serait chez moi TEST-PG01 parce que a/ On sait que c’est un serveur (implicite) donc je garde pas le S b/ Serveurs Linux la norme chez moi donc je garde pas le L c/ T (pour test) je garde, je garde pas PROD car c’est la norme d/ BDD je garde pas car PG01 donne l’info implicitement.
Vouloir préciser trop de choses dans le nom est une mauvaise idée d’après mon expérience, trop de changements possibles lors du cycle de vie d’un serveur. Par exemple foutre le nom de l’application ou du service genre GLPI, CIEL part du principe que ça ne changera pas. Je préfère COMPTA, RH…
Pour résumer : PST123, PRT456, TEST-WEB1, WEB1, DNS1, HY3, MYSQL8, POSTGRESQL4, SB-LTORVALDS (sandbox Linus Torvalds)…
Tcho !
Bonjour,
Chez nous, ou l’on gère un parc conséquent de machines (Plusieurs milliers sur presque des centaines de clients) on est obligé de faire simple et efficace pour s’y retrouver :
PAYS_REGION_ROLE_NUMEROINCREMENTAL
Par exemple pour un hyperv : CHGEHYV01 Pour un DC / FS : CHGEDC01 Pour un applicatif générique : CHLSAP01 Pour un backup : SGBCK01
CHGE (Suisse, Genève) CHLS (Suisse, Lausanne) SG (Singapour, on ne regarde pas la région, car on ne s’y déplace pas physiquement tous les 4 matins).
etc …
Parfois, on met le nom de l’applicatif directement dans le serveur, par exemple, dans un abacus en cluster : CHLSABA01 et CHLSABA02