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    L'ouverture en open data est une très bonne chose au niveau de la perception de l'administration par les citoyens, mais le point soulevé par l'auteur du fait que la base LEGI soit fournie sous une forme difficilement exploitable (base énorme de fichiers XML répartis dans des répertoires à la nomenclature imbitable d'après ce que j'ai compris) ne semble pas aider à la prise en main des données par les citoyens.

    Les initiatives les plus intéressantes au niveau de l'open data des données des citoyens me semblent pour l'instant celles offrant directement une api rest permettant l'utilisation et l'interrogation simple de ces données.

    1. [Comment from banned user removed]

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        je me demande juste si mettre des données en libre accès suffit. Si elles sont difficilement exploitables, je ne suis pas sûr que le but soit atteint.

        Par exemple, l'État peut offrir un service public, mais si dans les faits s'il est difficilement accessible, on peut se demander si la tâche de l'État est bien remplie. Un peu comme obtenir un HLM relève du parcours du combattant pour des gens socialement fragiles, obtenir le RSA demande d'avoir une adresse postale et est donc dans les faits il est inaccessible aux SDFs, etc. Pour en revenir à notre problématique, si on nous fournit des données et qu'on n'offre pas vraiment de système simple et pratique d'y accéder, d'y naviguer et de les exploiter, est-ce vraiment de l'open data ? C'est ton article qui me fait m'interroger sur ces questions :)