J’ai survolé l’article parce que je n’ai pas le niveau pour échanger sur le sujet. Toutefois, dans le titre de l’article, le groupe nominal « services auto-hébergés » a un sens difficile à saisir. On pourrait penser que « auto-hébergés » est employé avec plusieurs fonctions grammaticales : expansion du groupe nominal (des services particuliers) ou complément de phrase (l’auto-hébergement : héberger ses services). J’aurais plutôt dit « Déployer ses services réseaux en quelques secondes » bien que cela fasse moins tendance.
J’insiste, auto- a pour signification « soi-même, lui-même ». Ce qui voudrait littéralement dire que les services s’hébergent d’eux-même. D’ailleurs, le mot « auto-héberger » est un verbe dont le sens est « héberger soi-même des services ». Par extension du sens ou du concept, ce serait des services qui seraient hébergés par d’autres services. En admettant que le terme « auto-hébergé » est le participe passé du verbe « auto-héberger » ayant une fonction adjectivale. À moins qu’il s’agisse d’une mauvaise métaphore.
Je ne saurais pas entrer dans le débat grammatical, mais ici on parle d’auto-hébergement pour dire qu’on heberge soi même des serveurs informatiques, et par extension les services qui tournent sur ces serveurs.
Le sujet ici est donc un service qu’on heberge soi-même. La tournure me semble compréhensible dans le contexte plutôt répandu pour le public de ce site, mais je ne suis pas prof de français !
Je comprends mais ce n’est pas clair. On peut dire « services délocalisés à l’étranger » ou alors « Déployer des services que l’on auto-héberge, en quelques secondes ». On peut aussi comprendre le sens d’une phrase incorrecte syntaxiquement comme « moi, pas bien suivre les arrondis du modèle à découper » avec le contexte. On désigne ce qui constitue une pratique : l’auto-hébergement. Il me semble que « serveur auto-hébergé » est également incorrect. Idem pour « héberger soit-même des serveurs » dans le sens où on peut disposer de serveurs ou pas (l’un ou l’autre) comme dans l’expression « produire soi-même de l’électricité ». Bien qu’éventuellement avec ou sans services (l’un, l’autre). Ne pas confondre un serveur informatique (agent) avec un service (action) qui de toute façon n’aurait pu exister sans.
C’est parce que j’aimerais intégrer de la traduction de documents dans Emacs, mais cela reste encore dans les cartons. Hors, pour bien traduire (correctement et sans trop de peine) il faut savoir bien écrire. Bref, j’aimerais bien avoir des fonctionnalités d’analyses grammaticales dans Emacs. Je profite un peu de ces commentaires pour m’exercer et me motiver. Je ne suis même pas certain que les outils de traduction assistée par ordinateur proposent ce genre de choses. Mon idée serait d’inscrire à l’écran les analyses grammaticales effectuées mentalement par l’utilisateur (traducteur) pour faciliter la compréhension et choisir la meilleure reformulation, notamment pour gagner en facilité, à travers l’acquisition d’expérience (approche pratique) en traduction. Comme je suppose que vous valorisez le titre :-) c’était l’occasion souhaitée de s’entraîner à convaincre pour tester sa compréhension ou maîtrise du langage.
Hey! Merci pour l’article. Il tombe au bon moment pour moi, je me suis essayé à trefik avec plus ou moins de succès ces derniers jours.
Par contre, quand je lance le docker-compose tel que présenté dans ton article, j’ai une erreur : In file ‘./docker-compose.yml’, network ‘default’ must be a mapping not a string.
Merci!
Bon j’ai d’autres erreurs de syntaxe maintenant. Je pense savoir pourquoi: je suis en version 1.25.0 de docker-compose alors que tu utilises la 2. Faut que je prenne le temps d’upgrader, j’ai déjà des services qui tournent faut que je regarde l’impact.
Alors la bonne nouvelle c’est que tu peux avoir plusieurs fichier docker-compose en parallèle avec des versions différentes, pour que tout le monde puisse communiquer il faut juste qu’ils utilisent justement le même réseau ;)
Super article, c’est très clair, merci pour ce partage. J’attends avec impatience les autres billets :)
J’ai survolé l’article parce que je n’ai pas le niveau pour échanger sur le sujet. Toutefois, dans le titre de l’article, le groupe nominal « services auto-hébergés » a un sens difficile à saisir. On pourrait penser que « auto-hébergés » est employé avec plusieurs fonctions grammaticales : expansion du groupe nominal (des services particuliers) ou complément de phrase (l’auto-hébergement : héberger ses services). J’aurais plutôt dit « Déployer ses services réseaux en quelques secondes » bien que cela fasse moins tendance.
J’insiste, auto- a pour signification « soi-même, lui-même ». Ce qui voudrait littéralement dire que les services s’hébergent d’eux-même. D’ailleurs, le mot « auto-héberger » est un verbe dont le sens est « héberger soi-même des services ». Par extension du sens ou du concept, ce serait des services qui seraient hébergés par d’autres services. En admettant que le terme « auto-hébergé » est le participe passé du verbe « auto-héberger » ayant une fonction adjectivale. À moins qu’il s’agisse d’une mauvaise métaphore.
Je ne saurais pas entrer dans le débat grammatical, mais ici on parle d’auto-hébergement pour dire qu’on heberge soi même des serveurs informatiques, et par extension les services qui tournent sur ces serveurs. Le sujet ici est donc un service qu’on heberge soi-même. La tournure me semble compréhensible dans le contexte plutôt répandu pour le public de ce site, mais je ne suis pas prof de français !
Je comprends mais ce n’est pas clair. On peut dire « services délocalisés à l’étranger » ou alors « Déployer des services que l’on auto-héberge, en quelques secondes ». On peut aussi comprendre le sens d’une phrase incorrecte syntaxiquement comme « moi, pas bien suivre les arrondis du modèle à découper » avec le contexte. On désigne ce qui constitue une pratique : l’auto-hébergement. Il me semble que « serveur auto-hébergé » est également incorrect. Idem pour « héberger soit-même des serveurs » dans le sens où on peut disposer de serveurs ou pas (l’un ou l’autre) comme dans l’expression « produire soi-même de l’électricité ». Bien qu’éventuellement avec ou sans services (l’un, l’autre). Ne pas confondre un serveur informatique (agent) avec un service (action) qui de toute façon n’aurait pu exister sans.
C’est parce que j’aimerais intégrer de la traduction de documents dans Emacs, mais cela reste encore dans les cartons. Hors, pour bien traduire (correctement et sans trop de peine) il faut savoir bien écrire. Bref, j’aimerais bien avoir des fonctionnalités d’analyses grammaticales dans Emacs. Je profite un peu de ces commentaires pour m’exercer et me motiver. Je ne suis même pas certain que les outils de traduction assistée par ordinateur proposent ce genre de choses. Mon idée serait d’inscrire à l’écran les analyses grammaticales effectuées mentalement par l’utilisateur (traducteur) pour faciliter la compréhension et choisir la meilleure reformulation, notamment pour gagner en facilité, à travers l’acquisition d’expérience (approche pratique) en traduction. Comme je suppose que vous valorisez le titre :-) c’était l’occasion souhaitée de s’entraîner à convaincre pour tester sa compréhension ou maîtrise du langage.
Hey! Merci pour l’article. Il tombe au bon moment pour moi, je me suis essayé à trefik avec plus ou moins de succès ces derniers jours.
Par contre, quand je lance le docker-compose tel que présenté dans ton article, j’ai une erreur : In file ‘./docker-compose.yml’, network ‘default’ must be a mapping not a string.
Super si ça peut t’aider. Tu peux me dire quel yaml pose problème exactement ?
Hey, c’est celui ci:
version: ‘3’ services: reverse-proxy: image: traefik:v2.9 command: –providers.docker ports: - “80:80” volumes: - /var/run/docker.sock:/var/run/docker.sock
whoami2: image: traefik/whoami labels: - “traefik.http.routers.whoami2.rule=Path(
/whoami
)”networks: default: traefik
Il te manque le label “name” :
Merci! Bon j’ai d’autres erreurs de syntaxe maintenant. Je pense savoir pourquoi: je suis en version 1.25.0 de docker-compose alors que tu utilises la 2. Faut que je prenne le temps d’upgrader, j’ai déjà des services qui tournent faut que je regarde l’impact.
Alors la bonne nouvelle c’est que tu peux avoir plusieurs fichier docker-compose en parallèle avec des versions différentes, pour que tout le monde puisse communiquer il faut juste qu’ils utilisent justement le même réseau ;)