J’ai connu ça aussi, et dans mon cas, fallait amener les bandes à la banque, dans leur coffre fort !!!
À l’époque je travaillais sur AS400…
Bref, je fais le même constat : c’est lent, c’est très cher, c’est une grande perte de temps, etc…
Linux Mint (version Xfce) a aussi ma préférence pour les béotiens ; l’expérience me montrant combien justement elle (r)assure ceux-ci. Pas compliqué, agréable à utiliser, répondant à la plupart des nécessités, etc…
La table des matières du site Web qui s’éclipse incessamment perturbe le lecteur. Insatisfait, je la supprime avec l’inspecteur du navigateur Web (« Inspecter » dans le menu contextuel).
À notre époque, ce n’est pas suffisant de « faire » les choses. À mon sens, il faut pouvoir disposer de nouvelles bases pour appréhender l’évolution des sociétés industrielles actuelles. Sinon, vous préconisez la même approche que Microsoft, à savoir, déplacer les problèmes conceptuels. En d’autres termes, vous laissez les autres décider pour vous sur des issues potentiellement majeures dans les années qui arrivent. Comme le grand fortuné Elon Musk qui pense que pour pouvoir vivre convenablement dans le futur robotisé, il faudra sûrement s’équiper de puces électroniques implantées dans le cerveau humain. Ou le fantasque Mark Zuckerberg qui se demande si nous ne vivons pas déjà dans son Metavers.
GNU/Linux, Linux, GNU, car à l’origine la distinction existe, de facto. Selon l’environnement, on peut assembler son propre système d’exploitation, et donc, changer son fonctionnement (ce qui ressort aussi dans le propos de l’article).
Après, je n’ai pas de solutions. Jetez un coup d’œil sur le site Web du projet GNU.
C’est parce que j’aimerais intégrer de la traduction de documents dans Emacs, mais cela reste encore dans les cartons. Hors, pour bien traduire (correctement et sans trop de peine) il faut savoir bien écrire. Bref, j’aimerais bien avoir des fonctionnalités d’analyses grammaticales dans Emacs. Je profite un peu de ces commentaires pour m’exercer et me motiver. Je ne suis même pas certain que les outils de traduction assistée par ordinateur proposent ce genre de choses. Mon idée serait d’inscrire à l’écran les analyses grammaticales effectuées mentalement par l’utilisateur (traducteur) pour faciliter la compréhension et choisir la meilleure reformulation, notamment pour gagner en facilité, à travers l’acquisition d’expérience (approche pratique) en traduction. Comme je suppose que vous valorisez le titre :-) c’était l’occasion souhaitée de s’entraîner à convaincre pour tester sa compréhension ou maîtrise du langage.
Je comprends mais ce n’est pas clair. On peut dire « services délocalisés à l’étranger » ou alors « Déployer des services que l’on auto-héberge, en quelques secondes ». On peut aussi comprendre le sens d’une phrase incorrecte syntaxiquement comme « moi, pas bien suivre les arrondis du modèle à découper » avec le contexte. On désigne ce qui constitue une pratique : l’auto-hébergement. Il me semble que « serveur auto-hébergé » est également incorrect. Idem pour « héberger soit-même des serveurs » dans le sens où on peut disposer de serveurs ou pas (l’un ou l’autre) comme dans l’expression « produire soi-même de l’électricité ». Bien qu’éventuellement avec ou sans services (l’un, l’autre). Ne pas confondre un serveur informatique (agent) avec un service (action) qui de toute façon n’aurait pu exister sans.
Je ne saurais pas entrer dans le débat grammatical, mais ici on parle d’auto-hébergement pour dire qu’on heberge soi même des serveurs informatiques, et par extension les services qui tournent sur ces serveurs.
Le sujet ici est donc un service qu’on heberge soi-même. La tournure me semble compréhensible dans le contexte plutôt répandu pour le public de ce site, mais je ne suis pas prof de français !
J’insiste, auto- a pour signification « soi-même, lui-même ». Ce qui voudrait littéralement dire que les services s’hébergent d’eux-même. D’ailleurs, le mot « auto-héberger » est un verbe dont le sens est « héberger soi-même des services ». Par extension du sens ou du concept, ce serait des services qui seraient hébergés par d’autres services. En admettant que le terme « auto-hébergé » est le participe passé du verbe « auto-héberger » ayant une fonction adjectivale. À moins qu’il s’agisse d’une mauvaise métaphore.
Oui, ça m’a beaucoup fait hésité mais c’est surtout la conso et le côté modulaire/réutilisable sur divers projets en fonction de la CM utilisait.
Et y avait la condition d’avoir 4 ports SATA minimum, ce que la plupart ne possède pas en format mini ITX ( 2 SATA maximum).
intéressant. Après perso je me pose tout de même la question de l’intérêt entre une carte + Pi4 qui coûte plus de 200€, vs une carte mère avec un cpu x86_64 qui peut avoir plus de patate pour un prix plus faible… sauf si on veut limiter la conso (même si les intel Jxxxx/Nxxxx consomment très peu)
Je n’ai pas pu m’empêcher d’aller voir la sortie HTML de cette page.
C’est du WordPress, donc de base ça ne respecte pas un certain nombre des bonnes pratiques citées. Pas de concaténation des CSS ou du JS, code de tracking, Google Tag, etc.
Donc je trouve que c’est un peu hypocrite de publier ce genre de contenu sur ce genre de plateforme.
Néanmoins, le message convoyé est important, donc je laisse mon upvote.
J’ai survolé l’article parce que je n’ai pas le niveau pour échanger sur le sujet. Toutefois, dans le titre de l’article, le groupe nominal « services auto-hébergés » a un sens difficile à saisir. On pourrait penser que « auto-hébergés » est employé avec plusieurs fonctions grammaticales : expansion du groupe nominal (des services particuliers) ou complément de phrase (l’auto-hébergement : héberger ses services). J’aurais plutôt dit « Déployer ses services réseaux en quelques secondes » bien que cela fasse moins tendance.
évidemment, un ZIP comme ça les permissions et droits ne sont pas conservées! Intelligent.
Lors de la restauration, il faudra réaffecter les droits. Avec une archive TAR (éventuellement compressée), les permissions sont conservées !
Communément appelée « ligne de commande » (ou commande shell), elle nécessite des connaissances « pointues » sur le système d’exploitation car elle induit régulièrement dans des situations alambiquées (c.f. « How to list all files ordered by size » ou « Why is looping over find’s output bad practice? »). En fait, je ne suis même pas sûr que la commande proposée soit la façon correcte de faire.
Je me suis jeté sur cet article en me disant “enfin une solution libre et gratuite pour tester K8S!” mais ô déception il faut rentrer une CB pour bénéficier du cloud Oracle…Dommage je passe mon tour.
Malheureusement, solution intéressante mais pas pour ce problème.
La vraie solution aurait été de maintenir un dépôt alternatif afin de faire profiter à tout le monde des modifications faites sur la bibliothèque (oui on dit bibliothèque par librairie ).
IMHO, avoir mis “Glances” dans Bureautique est un non sens ; ce serait plutôt “Supervision”, voire “Monitoring”…
J’ai connu ça aussi, et dans mon cas, fallait amener les bandes à la banque, dans leur coffre fort !!! À l’époque je travaillais sur AS400… Bref, je fais le même constat : c’est lent, c’est très cher, c’est une grande perte de temps, etc…
Linux Mint (version Xfce) a aussi ma préférence pour les béotiens ; l’expérience me montrant combien justement elle (r)assure ceux-ci. Pas compliqué, agréable à utiliser, répondant à la plupart des nécessités, etc…
La table des matières du site Web qui s’éclipse incessamment perturbe le lecteur. Insatisfait, je la supprime avec l’inspecteur du navigateur Web (« Inspecter » dans le menu contextuel).
À notre époque, ce n’est pas suffisant de « faire » les choses. À mon sens, il faut pouvoir disposer de nouvelles bases pour appréhender l’évolution des sociétés industrielles actuelles. Sinon, vous préconisez la même approche que Microsoft, à savoir, déplacer les problèmes conceptuels. En d’autres termes, vous laissez les autres décider pour vous sur des issues potentiellement majeures dans les années qui arrivent. Comme le grand fortuné Elon Musk qui pense que pour pouvoir vivre convenablement dans le futur robotisé, il faudra sûrement s’équiper de puces électroniques implantées dans le cerveau humain. Ou le fantasque Mark Zuckerberg qui se demande si nous ne vivons pas déjà dans son Metavers.
GNU/Linux, Linux, GNU, car à l’origine la distinction existe, de facto. Selon l’environnement, on peut assembler son propre système d’exploitation, et donc, changer son fonctionnement (ce qui ressort aussi dans le propos de l’article).
Après, je n’ai pas de solutions. Jetez un coup d’œil sur le site Web du projet GNU.
C’est parce que j’aimerais intégrer de la traduction de documents dans Emacs, mais cela reste encore dans les cartons. Hors, pour bien traduire (correctement et sans trop de peine) il faut savoir bien écrire. Bref, j’aimerais bien avoir des fonctionnalités d’analyses grammaticales dans Emacs. Je profite un peu de ces commentaires pour m’exercer et me motiver. Je ne suis même pas certain que les outils de traduction assistée par ordinateur proposent ce genre de choses. Mon idée serait d’inscrire à l’écran les analyses grammaticales effectuées mentalement par l’utilisateur (traducteur) pour faciliter la compréhension et choisir la meilleure reformulation, notamment pour gagner en facilité, à travers l’acquisition d’expérience (approche pratique) en traduction. Comme je suppose que vous valorisez le titre :-) c’était l’occasion souhaitée de s’entraîner à convaincre pour tester sa compréhension ou maîtrise du langage.
Je comprends mais ce n’est pas clair. On peut dire « services délocalisés à l’étranger » ou alors « Déployer des services que l’on auto-héberge, en quelques secondes ». On peut aussi comprendre le sens d’une phrase incorrecte syntaxiquement comme « moi, pas bien suivre les arrondis du modèle à découper » avec le contexte. On désigne ce qui constitue une pratique : l’auto-hébergement. Il me semble que « serveur auto-hébergé » est également incorrect. Idem pour « héberger soit-même des serveurs » dans le sens où on peut disposer de serveurs ou pas (l’un ou l’autre) comme dans l’expression « produire soi-même de l’électricité ». Bien qu’éventuellement avec ou sans services (l’un, l’autre). Ne pas confondre un serveur informatique (agent) avec un service (action) qui de toute façon n’aurait pu exister sans.
Je ne saurais pas entrer dans le débat grammatical, mais ici on parle d’auto-hébergement pour dire qu’on heberge soi même des serveurs informatiques, et par extension les services qui tournent sur ces serveurs. Le sujet ici est donc un service qu’on heberge soi-même. La tournure me semble compréhensible dans le contexte plutôt répandu pour le public de ce site, mais je ne suis pas prof de français !
J’insiste, auto- a pour signification « soi-même, lui-même ». Ce qui voudrait littéralement dire que les services s’hébergent d’eux-même. D’ailleurs, le mot « auto-héberger » est un verbe dont le sens est « héberger soi-même des services ». Par extension du sens ou du concept, ce serait des services qui seraient hébergés par d’autres services. En admettant que le terme « auto-hébergé » est le participe passé du verbe « auto-héberger » ayant une fonction adjectivale. À moins qu’il s’agisse d’une mauvaise métaphore.
Oui, ça m’a beaucoup fait hésité mais c’est surtout la conso et le côté modulaire/réutilisable sur divers projets en fonction de la CM utilisait. Et y avait la condition d’avoir 4 ports SATA minimum, ce que la plupart ne possède pas en format mini ITX ( 2 SATA maximum).
intéressant. Après perso je me pose tout de même la question de l’intérêt entre une carte + Pi4 qui coûte plus de 200€, vs une carte mère avec un cpu x86_64 qui peut avoir plus de patate pour un prix plus faible… sauf si on veut limiter la conso (même si les intel Jxxxx/Nxxxx consomment très peu)
Je n’ai pas pu m’empêcher d’aller voir la sortie HTML de cette page.
C’est du WordPress, donc de base ça ne respecte pas un certain nombre des bonnes pratiques citées. Pas de concaténation des CSS ou du JS, code de tracking, Google Tag, etc. Donc je trouve que c’est un peu hypocrite de publier ce genre de contenu sur ce genre de plateforme.
Néanmoins, le message convoyé est important, donc je laisse mon upvote.
J’ai survolé l’article parce que je n’ai pas le niveau pour échanger sur le sujet. Toutefois, dans le titre de l’article, le groupe nominal « services auto-hébergés » a un sens difficile à saisir. On pourrait penser que « auto-hébergés » est employé avec plusieurs fonctions grammaticales : expansion du groupe nominal (des services particuliers) ou complément de phrase (l’auto-hébergement : héberger ses services). J’aurais plutôt dit « Déployer ses services réseaux en quelques secondes » bien que cela fasse moins tendance.
Super article, c’est très clair, merci pour ce partage. J’attends avec impatience les autres billets :)
évidemment, un ZIP comme ça les permissions et droits ne sont pas conservées! Intelligent. Lors de la restauration, il faudra réaffecter les droits. Avec une archive TAR (éventuellement compressée), les permissions sont conservées !
Super émission. :)
J’ai une préférence pour la commande suivante à cause de sa simplicité (postée dans une réponse sur le site Web Stack Exchange) :
Néanmoins, on ne considère pas les fichiers ayant un nom de fichier contenant un caractère « nouvelle ligne ».
Communément appelée « ligne de commande » (ou commande shell), elle nécessite des connaissances « pointues » sur le système d’exploitation car elle induit régulièrement dans des situations alambiquées (c.f. « How to list all files ordered by size » ou « Why is looping over find’s output bad practice? »). En fait, je ne suis même pas sûr que la commande proposée soit la façon correcte de faire.
Je me suis jeté sur cet article en me disant “enfin une solution libre et gratuite pour tester K8S!” mais ô déception il faut rentrer une CB pour bénéficier du cloud Oracle…Dommage je passe mon tour.
Malheureusement, solution intéressante mais pas pour ce problème.
La vraie solution aurait été de maintenir un dépôt alternatif afin de faire profiter à tout le monde des modifications faites sur la bibliothèque (oui on dit bibliothèque par librairie ).
Récapitulatif du 1er jour de la Kubecon Europe, les articles 2 et 3 étant présents dans l’article.