Nix: la hype du moment, c’est bien cool pour gérer des machines de manière déclarative, par contre ne pas utiliser si vous n’avez pas la fibre chez vous (ou alors faut pas avoir à installer un paquet en urgence à 3H du matin parce que l’astreinte a sonnée).
Je trouve que c’est l’un des meilleurs systèmes GNU/Linux par son aspect innovant. On peut se rapprocher de l’esprit (idée) « contrôler son informatique ». Je ne connais pas du tout NixOS car je préfère Guix (System).
Sinon, je ne crois pas à cette affirmation. En cas d’urgence, étant donné que Guix supporte les mises à jours transactionelles et les retours en arrière, on n’y passe pas toute la journée. D’autant plus que des substituts binaires peuvent être téléchargés, comme une distribution classique « publication en continue » (rolling release).
Le côté obscur de la force n’est plus incarné par Larry, la vache. :-P
Sauf si le nom choisi est très mauvais, il vaut mieux employer le nom original. Remplacer les noms des commandes peut devenir contraignant. Ou brouiller les choses en terme fonctionnel en rajoutant de la complexité, avec circonvolution. En effet, c’est une rupture du contexte dans l’environnement d’exploitation. Car, il faut alors considérer le Filesystem Hierarchy Standard (FHS) et le concept de chemin d’exécution d’une commande (la variable d’environnement PATH) ou des mécanismes Shell pour un usage spécifique.
Ils ont d’abord démarré sous forme associative avant de devenir une SCIC. Ils ont été parmis les membres fondateurs de la FFDN.
Ça fait plaisir de voir qu’ils parviennent à grandir en restant petits et humains :-)
Leur réseau est en fait un réseau étendu (réseau départemental). L’expression « internet local » prête quand même à confusion. Leur caractéristique est la prise de participation, façon coopérative et associative.
SCANI est une Société Coopérative d’Intérêt Collectif. En quelques mots, c’est une forme de société qui réuni les forces du collectif et du volontariat avec la capacité d’investissement du capital. Nous l’avons conçu sur un modèle associatif.
Par contre, dans leur modèle, on peut se demander comment les enjeux stratégiques majeurs sont gérés.
Le site Web de la SCANI mentionne que leur réseau comporte de nombreuses couches complexes. Leur documentation apporte un peu d’éclairage aux néophytes en réseautique afin de mieux appréhender les interconnexions entre réseaux. Autrement, cela aurait été plutôt abstrait. Il semblerait donc, d’après ce que je comprends, que la SCANI récupère le trafic au niveau d’un point d’interconnexion Internet.
Je pense que cela doit être mentionné en début d’article. Indiquer les choses au lecteur permettrait de lui donner les clés pour comprendre ou mieux se repérer. L’objectif est de se faire une idée du sujet avant de commencer à lire. Certains livres sont bien écrits mais ne sont pas vraiment adaptés à tous les lecteurs ou peuvent dépendre du contexte de lecture. J’ai lu plusieurs livres d’informatique (domaine d’intérêt). Souvent, j’ai eu des difficultés à cause du format choisi. Ce n’est pas si évident mais le format (agencement, structure) peut être déterminant pour avoir une expérience de lecture satisfaisante ou concluante. D’expérience, on ne s’en rend pas forcément compte, lecteur, même lorsque cela est formellement énoncé dans l’avant-propos du livre. Je préfère consulter des livres élaborés par des maisons d’éditions ayant un tirage international parce que les livres sur le marché français sont destinés à des étudiants ou des professionnels et pas pour quiconque ayant de l’attrait pour la matière en soi (apprécier) ou en elle-même (apporter).
L’introduction explique la philosophie de l’IPFS, j’imagine que c’était un peu tôt pour l’expliquer.
Pour le point de notion en réseau: Malheureusement cet article ne s’adresse pas aux non-initiés à l’informatique (Principalement parce que je ne souhaite pas expliquer chaque instruction technique), le seul point réseau abordé concerne le DNS et j’ai pensé que ça serait un domaine plutôt accessible.
En revanche (et c’est ce que j’en tire de tes remarques), je peux essayer de donner les bons liens pour que le lecteur puisse se renseigner.
Je garde ça dans un coin de ma tête pour un futur article :)
L’introduction faudra revoir, on y croit pas trop. Je n’y comprends rien sans notion en réseautique. Mais je pense que c’est un domaine qui présente beaucoup d’intérêt. C’est incroyable qu’il y ait tant de dynamisme dans l’architecture réseau : on peut avoir l’impression de refaire le monde avec l’apparition de nouveaux modèles, même si fondamentalement on reprend éventuellement les même bases (nouveaux protocoles).
L’avantage du serveur déporté (tout comme une CI finalement) c’est la souplesse de plusieurs machines adaptées SI on peut se le permettre.
Mais aussi de pouvoir utiliser les éditeurs de chacune des plateformes sans avoir Hugo d’installé !
J’édite sous Github, Gitlab, Gitea, puis toutes ses plateformes web permettent de commit puis d’envoyer un appel à Gâchette qui s’occupe du reste.
Je n’ai pas toujours la possibilité d’avoir Hugo sur les machines qui me tombent sous la main. Ni la patience et le temps d’installer ce qu’il faut.
Haha non je pensais à avoir le hook directement sur ta machine à toi.
Du coup ça implique d’avoir hugo (mais bon généralement on l’a déjà sur sa machine pour au moins avoir la preview) + rsync sur la machine où tu écris/git commit.
Perso c’est ce que j’ai fait, j’ai hook sur pre-push. Donc juste avant de push, ça execute le script (génération du site+génération des images+compression du site+génération de blogroll+rsync vers le serveur web).
Mais du coup ma question, le fait de déporter ça sur un serveur ça a quel intéret si ce n’est de pouvoir git push depuis n’importe quelle machine ?
J’avoue ne pas connaître exactement les possibilités de hook git sur Github par exemple.
Mais j’imagine qu’on a 2 possibilités :
soit mettre le hook sur Github (et donc s’il déploie le serveur il faut les id/mdp qu’on met… sur une plateforme qui n’est pas à nous)
soit mettre le hook sur son serveur ; si c’est pour un dépôt qui est sur Github, il faut donc synchroniser les dépôts et maintenir un dépôt Git sur son serveur (ce que je ne souhaite pas forcément aux vues de mes restrictions serveur)
L’idée est de déporter l’action sur un serveur sur lequel on a la main.
Gachette fait une pseudo authentification entre le nom du projet (par exemple blankoworld/gachette) avec un mot de passe (certes déposé sur Github/Gitlab/Gitea).
Étant donné que dans l’article j’exprime le fait d’avoir des dépôts disséminés partout (Framagit, Github, etc.), je permets d’avoir mes scripts hébergés chez moi avec les bonnes infos (id/mdp pour synchroniser par exemple).
J’ai l’impression que, quoiqu’il arrive, il faut un service sur son serveur qui soit copie le dépôt Github régulièrement pour savoir qu’un commit a été fait et ajouter un hook git, soit un serveur de Webhooks (dont c’est le job) qui reçoit directement la requête de Github afin de déclencher une action.
C’est une histoire de participation à des projets Libres qui décident d’être sur plusieurs forges, tout simplement.
Et parfois, suivant les moments de mon histoire, j’ai déposé des projets sur l’une ou l’autre plateforme. Par exemple Github pour le projet Gachette lui-même, Framagit pour des présentations, etc.
Désolé, c’est de la frustration. Je pense que c’est assez particulier, sinon il y aurait certainement eu plus de propositions. N’empêche c’est principalement une seule personne qui réalise la traduction. Et leur activité est régie par des processus complexes (dixit infrastructure importante). La manière de procéder n’est pas idéale.
Je trouve que c’est l’un des meilleurs systèmes GNU/Linux par son aspect innovant. On peut se rapprocher de l’esprit (idée) « contrôler son informatique ». Je ne connais pas du tout NixOS car je préfère Guix (System).
Sinon, je ne crois pas à cette affirmation. En cas d’urgence, étant donné que Guix supporte les mises à jours transactionelles et les retours en arrière, on n’y passe pas toute la journée. D’autant plus que des substituts binaires peuvent être téléchargés, comme une distribution classique « publication en continue » (rolling release).
Le côté obscur de la force n’est plus incarné par Larry, la vache. :-P
Sauf si le nom choisi est très mauvais, il vaut mieux employer le nom original. Remplacer les noms des commandes peut devenir contraignant. Ou brouiller les choses en terme fonctionnel en rajoutant de la complexité, avec circonvolution. En effet, c’est une rupture du contexte dans l’environnement d’exploitation. Car, il faut alors considérer le Filesystem Hierarchy Standard (FHS) et le concept de chemin d’exécution d’une commande (la variable d’environnement
PATH
) ou des mécanismes Shell pour un usage spécifique.Ils ont d’abord démarré sous forme associative avant de devenir une SCIC. Ils ont été parmis les membres fondateurs de la FFDN. Ça fait plaisir de voir qu’ils parviennent à grandir en restant petits et humains :-)
Leur réseau est en fait un réseau étendu (réseau départemental). L’expression « internet local » prête quand même à confusion. Leur caractéristique est la prise de participation, façon coopérative et associative.
Par contre, dans leur modèle, on peut se demander comment les enjeux stratégiques majeurs sont gérés.
Le site Web de la SCANI mentionne que leur réseau comporte de nombreuses couches complexes. Leur documentation apporte un peu d’éclairage aux néophytes en réseautique afin de mieux appréhender les interconnexions entre réseaux. Autrement, cela aurait été plutôt abstrait. Il semblerait donc, d’après ce que je comprends, que la SCANI récupère le trafic au niveau d’un point d’interconnexion Internet.
Ce que je retiens de l’article c’est qu’il y a des transferts de données entre ordinateurs, mais j’avoue que ce n’est pas très rassurant non plus.
Je pense que cela doit être mentionné en début d’article. Indiquer les choses au lecteur permettrait de lui donner les clés pour comprendre ou mieux se repérer. L’objectif est de se faire une idée du sujet avant de commencer à lire. Certains livres sont bien écrits mais ne sont pas vraiment adaptés à tous les lecteurs ou peuvent dépendre du contexte de lecture. J’ai lu plusieurs livres d’informatique (domaine d’intérêt). Souvent, j’ai eu des difficultés à cause du format choisi. Ce n’est pas si évident mais le format (agencement, structure) peut être déterminant pour avoir une expérience de lecture satisfaisante ou concluante. D’expérience, on ne s’en rend pas forcément compte, lecteur, même lorsque cela est formellement énoncé dans l’avant-propos du livre. Je préfère consulter des livres élaborés par des maisons d’éditions ayant un tirage international parce que les livres sur le marché français sont destinés à des étudiants ou des professionnels et pas pour quiconque ayant de l’attrait pour la matière en soi (apprécier) ou en elle-même (apporter).
Ajouter des références, c’est une bonne idée !
L’introduction explique la philosophie de l’IPFS, j’imagine que c’était un peu tôt pour l’expliquer. Pour le point de notion en réseau: Malheureusement cet article ne s’adresse pas aux non-initiés à l’informatique (Principalement parce que je ne souhaite pas expliquer chaque instruction technique), le seul point réseau abordé concerne le DNS et j’ai pensé que ça serait un domaine plutôt accessible.
En revanche (et c’est ce que j’en tire de tes remarques), je peux essayer de donner les bons liens pour que le lecteur puisse se renseigner.
Je garde ça dans un coin de ma tête pour un futur article :)
Ça bouge beaucoup côté migration vers Pg, et l’actualité économique va enterriner cela pour un moment encore.
Je trouve l’article beaucoup trop long pour nous dire pas grand chose… Et faut arrêter de vendre les vpn “passerelle” comme des solutions de sécurité.
En parlant de chiffrement sur PHP, il est difficile de ne pas citer libsodium, et avec un très bon article : https://jolicode.com/blog/libsodium-pour-les-nuls-ou-la-cryptographie-en-php
L’introduction faudra revoir, on y croit pas trop. Je n’y comprends rien sans notion en réseautique. Mais je pense que c’est un domaine qui présente beaucoup d’intérêt. C’est incroyable qu’il y ait tant de dynamisme dans l’architecture réseau : on peut avoir l’impression de refaire le monde avec l’apparition de nouveaux modèles, même si fondamentalement on reprend éventuellement les même bases (nouveaux protocoles).
Oui tout à fait. À l’époque je ne connaissais que DroneCI, Woodpecker n’existait pas ou n’était pas encore connu.
Ensuite mes machines ne tenaient pas le coup avec l’ensemble des services (26 environ) qui tournaient sur le fameux serveur dédié OVH à 42€/an.
Il a fallu faire preuve d’ingéniosité ET garder un certain minimalisme tout en ayant un certain contrôle de ce qu’on utilise.
L’avantage du serveur déporté (tout comme une CI finalement) c’est la souplesse de plusieurs machines adaptées SI on peut se le permettre.
Mais aussi de pouvoir utiliser les éditeurs de chacune des plateformes sans avoir Hugo d’installé ! J’édite sous Github, Gitlab, Gitea, puis toutes ses plateformes web permettent de commit puis d’envoyer un appel à Gâchette qui s’occupe du reste.
Je n’ai pas toujours la possibilité d’avoir Hugo sur les machines qui me tombent sous la main. Ni la patience et le temps d’installer ce qu’il faut.
Haha non je pensais à avoir le hook directement sur ta machine à toi.
Du coup ça implique d’avoir hugo (mais bon généralement on l’a déjà sur sa machine pour au moins avoir la preview) + rsync sur la machine où tu écris/git commit.
Perso c’est ce que j’ai fait, j’ai hook sur pre-push. Donc juste avant de push, ça execute le script (génération du site+génération des images+compression du site+génération de blogroll+rsync vers le serveur web).
Mais du coup ma question, le fait de déporter ça sur un serveur ça a quel intéret si ce n’est de pouvoir git push depuis n’importe quelle machine ?
Est-ce que l’utiliser d’une CI/CD (comme Woodpecker-CI par exemple) t’a déjà traversé l’esprit ?
Question pour le côté batterie : est-ce qu’utiliser un paquet tel que
tlp
pourrait améliorer la consommation ?Cf. https://linrunner.de/tlp/
Merci du partage en tout cas, c’est très intéressant :-)
J’avoue ne pas connaître exactement les possibilités de hook git sur Github par exemple.
Mais j’imagine qu’on a 2 possibilités :
L’idée est de déporter l’action sur un serveur sur lequel on a la main.
Gachette fait une pseudo authentification entre le nom du projet (par exemple blankoworld/gachette) avec un mot de passe (certes déposé sur Github/Gitlab/Gitea).
Étant donné que dans l’article j’exprime le fait d’avoir des dépôts disséminés partout (Framagit, Github, etc.), je permets d’avoir mes scripts hébergés chez moi avec les bonnes infos (id/mdp pour synchroniser par exemple).
J’ai l’impression que, quoiqu’il arrive, il faut un service sur son serveur qui soit copie le dépôt Github régulièrement pour savoir qu’un commit a été fait et ajouter un hook git, soit un serveur de Webhooks (dont c’est le job) qui reçoit directement la requête de Github afin de déclencher une action.
Ai-je répondu à la question ?
C’est une histoire de participation à des projets Libres qui décident d’être sur plusieurs forges, tout simplement.
Et parfois, suivant les moments de mon histoire, j’ai déposé des projets sur l’une ou l’autre plateforme. Par exemple Github pour le projet Gachette lui-même, Framagit pour des présentations, etc.
Désolé, c’est de la frustration. Je pense que c’est assez particulier, sinon il y aurait certainement eu plus de propositions. N’empêche c’est principalement une seule personne qui réalise la traduction. Et leur activité est régie par des processus complexes (dixit infrastructure importante). La manière de procéder n’est pas idéale.