Bonjour merci de votre lecture.
Lorsque l’on réalise une recherche sur le sujet une grande partie des résultats seront en anglais.
Avoir ces termes permet d’approfondir le sujet.
C’est donc sciemment que j’utilise les termes utilisés par la majorité des professionnels c’est-à-dire la version d’origine issue des RFC de la IEEE.
J’ai écrit cet article car je ne trouvais pas de version illustrée.
Si vous le désirez vous pouvez prendre votre plume et en écrire un en jargon technique français.
Plaît-il ? Quant est-il du bilinguisme ? Je suis autodidacte. Je lis en anglais et en français. Mon domaine de prédilection, c’est l’informatique. Je n’ai pas de difficultés particulières pour rechercher des informations sur le Web. Sans une maîtrise suffisante du français, il m’aurait été impossible de progresser. On retrouve bien votre état d’esprit en France dans le domaine social. Sur France Term, je ne trouve pas la terminologie dont j’ai crucialement besoin. Mais il s’avère souvent que les termes recherchés figurent dans le grand dictionnaire terminologique de l’office québécois de la langue française. D’ailleurs, je donne la primauté à des ouvrages écrit en anglais, suite à des déceptions mais également par nécessité. Force est de constater qu’en suivant votre mentalité, ma perception des choses n’aurait jamais évolué. Accepter du charabia, très peu pour moi.
Bonjour,
J’ai lu l’article par curiosité, et je le trouve bien: les notions sont bien expliquées et les schémas sont bien faits et aident à la compréhension (d’ailleurs si quelqu’un sait quel logiciel a été utilisé je suis preneur).
Quand on bosse dans un domaine, on apprend son langage. En informatique, beaucoup de termes sont anglais, et l’anglais est incontournable dans ce domaine, notamment pour faire des recherches efficaces. Le franglais est donc tout à fait normal.
Quant au lien sur le marketing, on ne peut pas leur reprocher leur langage. Une compilation des phrases pleines de mots anglais fait effectivement sourire (enfin c’est plutôt leur incapacité à expliquer clairement les notions associées qui me fait sourire), mais ce ne sont que des termes techniques qui sont compris par l’ensemble des gens qui bossent dans ce domaine. Utiliser les équivalents français (si seulement ils existent…) c’est rendre les discussions difficiles entre les gens de ce domaine.
Le “sens d’origine” quand un mot est une invention anéricaine et qu’il a donc un nom américain, est-ce que lui donner un nom français ne serait pas justement une perte du sens d’origine ?
C’est marrant comme je suis quasi jamais d’accord avec tes points de vue ^__^
C’est une formulation formelle qui frise le déplorable.
C’est de la suffisance. J’ai lu de très bon textes sur l’informatique rédigés intégralement en français, avec tous les mots équivalents précisés en anglais. Le franglais c’est du charabia ; on perd littéralement le sens d’origine.
“Dommage l’écriture inclusive”…
Tu parles de “Bonjour à toutes et à tous” ? o__o
Concernant le franglais, chaque nouveau terme est expliqué au préalable et il s’agit de termes techniques. Les traduire serait bien plus contreproductif. Malheureusement dans l’informatique et le réseau le vocabulaire technique est en anglais. Faire de la documentation en francisant les termes ne fait que déservir le lecteur qui devra réapprendre les vrais termes lorsqu’il les croisera ailleurs.
Merci pour le partage. Je reste par contre sur ma faim, l’article indique juste que plus d’applications sont installées par défaut sur /e/os que sur grapheneOS. Je ne vois pas le lien avec la confidentialité.
GrepheneOS est plus connu pour sa sécurité (d’où le peu d’applications fournies par défaut), et réalise des compromis en terme de confidentialité avec Google (notamment les sandbox via leur Google play). e/os est probablement plus accessible et s’éloigne de Google, alors que grapheneOS recherche la sécurité avant tout. Tout une histoire de compromis :)
“Solution incontournable” je n’y crois pas trop. On se débrouille très bien aussi avec un cluster libvirt managée par Ansible. Je reconnais le côté clef en main de proxmox mais personnellement, pour avoir pratiqué les deux et d’autres, je préfère ma solution.
Le logiciel libre est pour moi un concept parmi d’autres inhérent à l’informatique. Et cela va de pair avec le développement de la société. Tout comme la technologie en général, ou la science, l’information, et une multitude d’autres domaines de la vie courante. Les problèmes à résoudre ne manquent sûrement pas.
Je ne pensais pas à mal. Comme je viens de l’écrire à Cascador, je vais mettre en place un blog pour ma plateforme et j’enverrai un lien recap maxi une fois par semaine pour présenter les offres d’emploi si cela convient.
Je suis désolé pour le dérangement et la sensation de spam générée.
Avec une Livebox aussi ça fait belle lurette que j’ai arrêté de batailler et que j’ai mon propre routeur et serveur DHCP en DMZ (pfSense pour ma part mais n’importe quel truc fera toujours mieux que la Livebox)
La Livebox expose des fonctionnalités limitées aux utilisateurs. Son architecture est fermée. Je vais essayer de la remplacer par mon BPI R3 avec OpenWrt. Le résultat n’est pas garanti et pas certain que j’en sois satisfait. Il est difficile d’en juger. Même pour des techniciens.
Oui, bien sûr, pour un usage purement routeur, c’est surdimensionné.
Dans mon cas, cette machine héberge aussi Home Assistant, une seedbox, un Kubernetes, etc en VM.
Côté Wifi, j’ai opté pour deux points d’accès Ubiquiti pour pouvoir couvrir les deux étages de la maison. Le contrôleur est hébergé sur une VM sur le serveur.
C’est faux : l’adresse MAC est déjà mappée à une adresse IP (la 192.168.1.204). Je ne peux pas demander à mon DHCP d’avoir 2 adresses sur la même machine.
Pour te simplifier le cas d’usage : imagine un serveur KeepAlived. L’adresse IP commune n’est pas liée à un seul hôte. Celle-ci est “flottante”.
Il y a peut-être une autre solution propre, mais celle que tu donnes n’en est pas une.
Bonjour merci de votre lecture. Lorsque l’on réalise une recherche sur le sujet une grande partie des résultats seront en anglais. Avoir ces termes permet d’approfondir le sujet. C’est donc sciemment que j’utilise les termes utilisés par la majorité des professionnels c’est-à-dire la version d’origine issue des RFC de la IEEE. J’ai écrit cet article car je ne trouvais pas de version illustrée. Si vous le désirez vous pouvez prendre votre plume et en écrire un en jargon technique français.
Plaît-il ? Quant est-il du bilinguisme ? Je suis autodidacte. Je lis en anglais et en français. Mon domaine de prédilection, c’est l’informatique. Je n’ai pas de difficultés particulières pour rechercher des informations sur le Web. Sans une maîtrise suffisante du français, il m’aurait été impossible de progresser. On retrouve bien votre état d’esprit en France dans le domaine social. Sur France Term, je ne trouve pas la terminologie dont j’ai crucialement besoin. Mais il s’avère souvent que les termes recherchés figurent dans le grand dictionnaire terminologique de l’office québécois de la langue française. D’ailleurs, je donne la primauté à des ouvrages écrit en anglais, suite à des déceptions mais également par nécessité. Force est de constater qu’en suivant votre mentalité, ma perception des choses n’aurait jamais évolué. Accepter du charabia, très peu pour moi.
Bonjour, J’ai lu l’article par curiosité, et je le trouve bien: les notions sont bien expliquées et les schémas sont bien faits et aident à la compréhension (d’ailleurs si quelqu’un sait quel logiciel a été utilisé je suis preneur). Quand on bosse dans un domaine, on apprend son langage. En informatique, beaucoup de termes sont anglais, et l’anglais est incontournable dans ce domaine, notamment pour faire des recherches efficaces. Le franglais est donc tout à fait normal. Quant au lien sur le marketing, on ne peut pas leur reprocher leur langage. Une compilation des phrases pleines de mots anglais fait effectivement sourire (enfin c’est plutôt leur incapacité à expliquer clairement les notions associées qui me fait sourire), mais ce ne sont que des termes techniques qui sont compris par l’ensemble des gens qui bossent dans ce domaine. Utiliser les équivalents français (si seulement ils existent…) c’est rendre les discussions difficiles entre les gens de ce domaine.
C’est trop marrant, en effet.
Le “sens d’origine” quand un mot est une invention anéricaine et qu’il a donc un nom américain, est-ce que lui donner un nom français ne serait pas justement une perte du sens d’origine ?
C’est marrant comme je suis quasi jamais d’accord avec tes points de vue ^__^
C’est une formulation formelle qui frise le déplorable.
C’est de la suffisance. J’ai lu de très bon textes sur l’informatique rédigés intégralement en français, avec tous les mots équivalents précisés en anglais. Le franglais c’est du charabia ; on perd littéralement le sens d’origine.
“Dommage l’écriture inclusive”… Tu parles de “Bonjour à toutes et à tous” ? o__o
Concernant le franglais, chaque nouveau terme est expliqué au préalable et il s’agit de termes techniques. Les traduire serait bien plus contreproductif. Malheureusement dans l’informatique et le réseau le vocabulaire technique est en anglais. Faire de la documentation en francisant les termes ne fait que déservir le lecteur qui devra réapprendre les vrais termes lorsqu’il les croisera ailleurs.
Commentaire parodique
Yo! Man t’a grave assuré, ça fait le taff. Magnifico.
Uptime?
Feel good!
Reboot de temps à autre… on s’est jamais <:-) sûr.
Explication du commentaire
Dommage, l’écriture inclusive ! Dommage, le franglais ! Dommage, ces maladresses !
Merci pour le partage. Je reste par contre sur ma faim, l’article indique juste que plus d’applications sont installées par défaut sur /e/os que sur grapheneOS. Je ne vois pas le lien avec la confidentialité. GrepheneOS est plus connu pour sa sécurité (d’où le peu d’applications fournies par défaut), et réalise des compromis en terme de confidentialité avec Google (notamment les sandbox via leur Google play). e/os est probablement plus accessible et s’éloigne de Google, alors que grapheneOS recherche la sécurité avant tout. Tout une histoire de compromis :)
Je suis d’accord avec toi. Mais pour certains c incontournable.
“Solution incontournable” je n’y crois pas trop. On se débrouille très bien aussi avec un cluster libvirt managée par Ansible. Je reconnais le côté clef en main de proxmox mais personnellement, pour avoir pratiqué les deux et d’autres, je préfère ma solution.
Le logiciel libre est pour moi un concept parmi d’autres inhérent à l’informatique. Et cela va de pair avec le développement de la société. Tout comme la technologie en général, ou la science, l’information, et une multitude d’autres domaines de la vie courante. Les problèmes à résoudre ne manquent sûrement pas.
Bonjour Fredix,
Je ne pensais pas à mal. Comme je viens de l’écrire à Cascador, je vais mettre en place un blog pour ma plateforme et j’enverrai un lien recap maxi une fois par semaine pour présenter les offres d’emploi si cela convient.
Je suis désolé pour le dérangement et la sensation de spam générée.
Bonne semaine.
Salute,
J’ai envoyé un message à l’utilisateur.
Tcho !
c’est quoi ce spam ????!!!
Avec une Livebox aussi ça fait belle lurette que j’ai arrêté de batailler et que j’ai mon propre routeur et serveur DHCP en DMZ (pfSense pour ma part mais n’importe quel truc fera toujours mieux que la Livebox)
La Livebox expose des fonctionnalités limitées aux utilisateurs. Son architecture est fermée. Je vais essayer de la remplacer par mon BPI R3 avec OpenWrt. Le résultat n’est pas garanti et pas certain que j’en sois satisfait. Il est difficile d’en juger. Même pour des techniciens.
Je ne connais pas ce concept. Est-ce qu’il a un nom ?
Oui, bien sûr, pour un usage purement routeur, c’est surdimensionné. Dans mon cas, cette machine héberge aussi Home Assistant, une seedbox, un Kubernetes, etc en VM. Côté Wifi, j’ai opté pour deux points d’accès Ubiquiti pour pouvoir couvrir les deux étages de la maison. Le contrôleur est hébergé sur une VM sur le serveur.
Bonjour Salim,
C’est faux : l’adresse MAC est déjà mappée à une adresse IP (la 192.168.1.204). Je ne peux pas demander à mon DHCP d’avoir 2 adresses sur la même machine.
Pour te simplifier le cas d’usage : imagine un serveur KeepAlived. L’adresse IP commune n’est pas liée à un seul hôte. Celle-ci est “flottante”.
Il y a peut-être une autre solution propre, mais celle que tu donnes n’en est pas une.