C’est vrai que la marche n’est plus si haute pour passer de salarié à freelance, en particulier grâce au régime micro.
Mais :
on atteint “vite” le plafond de la micro-entreprise, et là ça devient quand même un peu galère (EURL, comptable, baisse du % facturé qui revient sur son compte)
il faut bien se mettre dans la peau d’un entrepreneur, et donc réfléchir à son positionnement et à sa stratégie de prospection pour trouver des missions intéressantes. Sinon, on on risque de se faire plumer par des intermédiaires dont la valeur ajoutée est parfois discutable
les entreprises françaises ne sont pas encore toutes acclimatées à ce type de sous-traitance. Il m’a parfois fallu présenter mon “système qualité”, mon “organigramme”, mes “délégations de signatures”, ou convaincre de dépasser les doutes sur la pérennité de mes services.
Il y a pleins de dispositifs. Des bouquins. Des services et des articles pour devenir freelance.
Mais de mon point de vue, rien ne vaut la discussion avec d’autres freelances.
Ce qui a marché pour moi, c’est de construire un petit réseau de 4-5 freelances avec lesquels le courant passe bien. Ainsi, on se recommande mutuellement, et on échange régulièrement sur la façon de piloter son activité.
C’est vrai que la marche n’est plus si haute pour passer de salarié à freelance, en particulier grâce au régime micro.
Mais :
on atteint “vite” le plafond de la micro-entreprise, et là ça devient quand même un peu galère (EURL, comptable, baisse du % facturé qui revient sur son compte)
il faut bien se mettre dans la peau d’un entrepreneur, et donc réfléchir à son positionnement et à sa stratégie de prospection pour trouver des missions intéressantes. Sinon, on on risque de se faire plumer par des intermédiaires dont la valeur ajoutée est parfois discutable
les entreprises françaises ne sont pas encore toutes acclimatées à ce type de sous-traitance. Il m’a parfois fallu présenter mon “système qualité”, mon “organigramme”, mes “délégations de signatures”, ou convaincre de dépasser les doutes sur la pérennité de mes services.
Il y a pleins de dispositifs. Des bouquins. Des services et des articles pour devenir freelance. Mais de mon point de vue, rien ne vaut la discussion avec d’autres freelances. Ce qui a marché pour moi, c’est de construire un petit réseau de 4-5 freelances avec lesquels le courant passe bien. Ainsi, on se recommande mutuellement, et on échange régulièrement sur la façon de piloter son activité.
Pas un mot sur l’absence totale de protection sociale pour les auto-entrepreneurs.