« La réelle souveraineté numérique, c’est donner la possibilité à l’administration de garder la main sur le choix des systèmes d’information », a-t-elle conclu.
Mais quelle bêtise. Et qui assure l'interopérabilité des données exploitées par ces systèmes d'information ? Des logiciel privateurs qui réinventent à chaque fois des protocoles juste pour emprisonner les données et leurs utilisateurs ?
« La réelle souveraineté numérique, c’est donner la possibilité à l’administration de garder la main sur le choix des systèmes d’information », a-t-elle conclu.
Mais quelle bêtise. Et qui assure l'interopérabilité des données exploitées par ces systèmes d'information ? Des logiciel privateurs qui réinventent à chaque fois des protocoles juste pour emprisonner les données et leurs utilisateurs ?