Première chose, il va falloir accompagner tout un tas de personnes dans les communautés libristes, qui avaient une vision très très simple de « Microsoft c’est le mal » et de dire « ok mais c’est juste le mal le bien, ou utiliser du libre ou du propriétaire ». La question est aussi « quel choix de société dans laquelle on veut vivre et quel numérique on fait dans cette société et quel numérique produit cette société »