La seule chose que je reproche à ce système, c'est « où vont les données ».
En pratique, on est déjà fliqué au lycée : appel sur l'ordinateur du prof, à chaque cours, et pour certains obligation d'émarger à chaque heure à la vie scolaire pour prouver qu'on est pas sorti du lycée (pour les mineurs qui n'ont pas de décharge des parents).
Alors bon, si ça permet de gagner du temps, je vois pas le problème, franchement. Rien n'empêche le prof de faire des « appels » au début pour les noms, et ensuite de se reposer sur le système.
Aujourd'hui, les élèves, la direction et les parents savent déjà si oui ou non leur gosse a été absent ou non, à quels cours, voire à quelles heures. La solution proposée n'augmente pas le flicage, elle le simplifie. Franchement, faut arrêter de délirer.
Et certaines entreprises et administrations vont déjà bien plus loin. Et pourtant, ces établissement ne sont pas responsables de la présence ou non de leurs employés, contrairement à un établissement scolaire. Donc même si c'est discutable comme procédé, ça ne l'est pas plus que ce qui existe déjà.
Le plus drôle (ou pathétique au choix), c'est que le système n'identifie pas les élèves mais les portes-clés. Il suffit de le donner à un camarade de classe pour sécher tranquille.
Il y a un autre écueil au système, les profs vont galérer pour retenir le nom de leurs élèves s'ils ne font plus l'appel ! Les conseils de classe du premier trimestre risquent d'être très flous !
La seule chose que je reproche à ce système, c'est « où vont les données ».
En pratique, on est déjà fliqué au lycée : appel sur l'ordinateur du prof, à chaque cours, et pour certains obligation d'émarger à chaque heure à la vie scolaire pour prouver qu'on est pas sorti du lycée (pour les mineurs qui n'ont pas de décharge des parents).
Alors bon, si ça permet de gagner du temps, je vois pas le problème, franchement. Rien n'empêche le prof de faire des « appels » au début pour les noms, et ensuite de se reposer sur le système.
Aujourd'hui, les élèves, la direction et les parents savent déjà si oui ou non leur gosse a été absent ou non, à quels cours, voire à quelles heures. La solution proposée n'augmente pas le flicage, elle le simplifie. Franchement, faut arrêter de délirer.
Et certaines entreprises et administrations vont déjà bien plus loin. Et pourtant, ces établissement ne sont pas responsables de la présence ou non de leurs employés, contrairement à un établissement scolaire. Donc même si c'est discutable comme procédé, ça ne l'est pas plus que ce qui existe déjà.
Mieux que… Y'a des prisonniers en liberté conditionnelle, dans le coin ?! (avec bracelet électronique…)
“Oulahh, il a dépassé la ligne d'enceinte, à cette heure-ci == privé de sortie !”
Etc, etc, etc…
Le plus drôle (ou pathétique au choix), c'est que le système n'identifie pas les élèves mais les portes-clés. Il suffit de le donner à un camarade de classe pour sécher tranquille.
Il y a un autre écueil au système, les profs vont galérer pour retenir le nom de leurs élèves s'ils ne font plus l'appel ! Les conseils de classe du premier trimestre risquent d'être très flous !