[…] je n’en reste pas moins déçu que Nix soit seul sur le trône. […] Parce que Nix possède un concurrent bien moins connu : Guix.
Combien de personnes s’investissent véritablement dans Guix ? Pour quel usage ? Est-ce opérationnel ? Quels sont les avantages et les inconvénients ? Quels sont les points forts et les points faibles ? Où cela mène ?
Questions rhétoriques. Les réponses ne m’intéressent pas vraiment.
On a l’impression que vous faîtes preuve de fausse charité. Ce n’est pas du tout ainsi que les choses fonctionnent en principe, en se basant sur des souhaits. Ce n’est pas par magie que les choses existent.
Soyons lucides, vous ne faîtes que reprendre ce qui existe. Cela ne changera pas la face des choses.
En voyant votre message, j’ai l’impression d’avoir un second sens involontaire dans mon texte.
C’est un fait : Guix ne possède pas une communauté aussi forte que Nix.
Les intéressés des distributions immuables sont déjà rares et Guix arrive sur un marché déjà conquis depuis 10 ans.
Les gens se dirigent vers Nix par défaut en voyant son immense communauté. Guix est un éternel second qui peine à trouver son public à cause d’un manque de visibilité alors qu’il est tout aussi viable que Nix.
Je suis lucide, je n’apporte rien au projet Guix et je n’en ai clairement pas la compétence.
Si vous voulez résumer mon article en une phrase, ce serait celle-ci : “Nix, c’est bien. Mais ça n’est pas le seul outil à remplir cette fonction”.
Si des gens visitent juste la documentation pour comparer les deux outils avant d’en installer un : je considèrerai que j’ai accompli ma mission.
Ce n’est pas représentatif de ce qu’il faudrait faire. Comment en tirer parti ? Qu’est-ce qu’on peut en faire ? À quoi cela servira ? Quelles sont les orientations du projet ? Dans l’essentiel, on se base sur ce qu’on peut exploiter et ce qui convient. Une voiture reste une voiture.
L’intérêt, l’usage et à quoi ça sert : j’y répond sur mon blog.
Une voiture reste une voiture, mais certains auront l’usage d’une citadine, et d’autres d’un 4x4.
Face à ce marché inondé de marques et de modèles : une analyse et une étude est toujours nécessaire.
Même combat avec Nix et Guix : les deux répondent au même besoin, mais chacun a sa manière de faire.
Je vais continuer à approfondir Guix et Nix et potentiellement écrire une future page qui vous sera satisfaisante.
Rentrer au cœur du système, voir les rouages et ressortir pour ne pas être esclave des ordinateurs, de la technologie et du progrès. Dans quel environnement c’est possible ? Je ne sais pas si c’est possible. Néanmoins, il semblerait que les systèmes ouverts ne conditionnent pas suffisamment pour y parvenir. Certains soutiennent que le libre est responsable de l’échec de la réussite de l’open source. Il ne s’agit pas tant d’améliorer des ouvrages que de respecter les autres à la bonne mesure.
En d’autres termes, je n’ai pas besoin d’être soutenu par une communauté mais de pouvoir retourner aux sources et de permettre à quiconque de le faire. La complexité étant ce qu’elle est, c’est un idéal. On peut avoir un idéal différent car il n’est pas fait pour tous mais on ne peut s’en affranchir sans conséquence car le monde n’est pas sans contrainte. Il est préférable d’établir soi-même ses contraintes (en tout cas, je préfèrerais).
Découvrir Guix c’est plonger potentiellement dans la complexité ou en être absorbé.
Combien de personnes s’investissent véritablement dans Guix ? Pour quel usage ? Est-ce opérationnel ? Quels sont les avantages et les inconvénients ? Quels sont les points forts et les points faibles ? Où cela mène ?
Questions rhétoriques. Les réponses ne m’intéressent pas vraiment.
On a l’impression que vous faîtes preuve de fausse charité. Ce n’est pas du tout ainsi que les choses fonctionnent en principe, en se basant sur des souhaits. Ce n’est pas par magie que les choses existent.
Soyons lucides, vous ne faîtes que reprendre ce qui existe. Cela ne changera pas la face des choses.
En voyant votre message, j’ai l’impression d’avoir un second sens involontaire dans mon texte.
C’est un fait : Guix ne possède pas une communauté aussi forte que Nix. Les intéressés des distributions immuables sont déjà rares et Guix arrive sur un marché déjà conquis depuis 10 ans.
Les gens se dirigent vers Nix par défaut en voyant son immense communauté. Guix est un éternel second qui peine à trouver son public à cause d’un manque de visibilité alors qu’il est tout aussi viable que Nix.
Je suis lucide, je n’apporte rien au projet Guix et je n’en ai clairement pas la compétence.
Si vous voulez résumer mon article en une phrase, ce serait celle-ci : “Nix, c’est bien. Mais ça n’est pas le seul outil à remplir cette fonction”.
Si des gens visitent juste la documentation pour comparer les deux outils avant d’en installer un : je considèrerai que j’ai accompli ma mission.
Ce n’est pas représentatif de ce qu’il faudrait faire. Comment en tirer parti ? Qu’est-ce qu’on peut en faire ? À quoi cela servira ? Quelles sont les orientations du projet ? Dans l’essentiel, on se base sur ce qu’on peut exploiter et ce qui convient. Une voiture reste une voiture.
L’intérêt, l’usage et à quoi ça sert : j’y répond sur mon blog.
Une voiture reste une voiture, mais certains auront l’usage d’une citadine, et d’autres d’un 4x4. Face à ce marché inondé de marques et de modèles : une analyse et une étude est toujours nécessaire.
Même combat avec Nix et Guix : les deux répondent au même besoin, mais chacun a sa manière de faire.
Je vais continuer à approfondir Guix et Nix et potentiellement écrire une future page qui vous sera satisfaisante.
Rentrer au cœur du système, voir les rouages et ressortir pour ne pas être esclave des ordinateurs, de la technologie et du progrès. Dans quel environnement c’est possible ? Je ne sais pas si c’est possible. Néanmoins, il semblerait que les systèmes ouverts ne conditionnent pas suffisamment pour y parvenir. Certains soutiennent que le libre est responsable de l’échec de la réussite de l’open source. Il ne s’agit pas tant d’améliorer des ouvrages que de respecter les autres à la bonne mesure.
En d’autres termes, je n’ai pas besoin d’être soutenu par une communauté mais de pouvoir retourner aux sources et de permettre à quiconque de le faire. La complexité étant ce qu’elle est, c’est un idéal. On peut avoir un idéal différent car il n’est pas fait pour tous mais on ne peut s’en affranchir sans conséquence car le monde n’est pas sans contrainte. Il est préférable d’établir soi-même ses contraintes (en tout cas, je préfèrerais).
Découvrir Guix c’est plonger potentiellement dans la complexité ou en être absorbé.
Merci pour l’article. J’ai beau connaître guix, cet outil ne cesse de me surprendre.