Dans cette release : Un bassin de population, un équipement de production, des coûts fixes et une mesure d’audience. Nous recevons Pierre Rogalle, co-président de FMR et François-Xavier Delacoux, co-gérant de RTS. Suite de notre série sur la radio numérique, une version longue de cette interview est disponible.
J’ai estimé utile de faire un point sur l’existant du côté des éditeurs, des radios elles-mêmes, celles qui sont déjà présentes au niveau local et qui ont fait le choix de monter en DAB+, et surtout… comment se projettent-elles dans l’avenir. J’ai souhaité réunir des gérants de radios locales : une associative, une commerciale et une de service publique afin que vous ayez une idée d’ensemble sur ce média.
Écoute, podcast, max de liens et vos commentaires : http://cpu.pm/0152
Chapitres :
La semaine prochaine : iGEM, International Genetically Engineered Machine competition, vue par les designers
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Perdu : on vient de lancer le DAB+, c’est l’objet de notre série d’émissions, et on explique justement dans cette émission pourquoi on y va : trop de disparité de puissance entre radios, de plus en plus de brouillages par des petits émetteurs d’appoints, et pour nous, l’importance de pouvoir enfin avoir une diffusion 24/24 7/7.
Autre avantage cité dans une autre émission : la diffusion sur une même zone avec plusieurs émetteurs synchronisés sur une même fréquence. Là où en FM, c’est un casse-tête en zone moyennement montagneuse.
Le coût de diffusion pour la radio est bien moindre qu’en FM, et on a (enfin en France) des postes FM/DAB+ à moins de 40€ prix de vente public.
Pour ce qui est de l’Amérique du Nord, on en parlera prochainement, mais la solution choisie (la sous porteuse numérique en FM) a tout simplement … réduit le nombre de stations dispo. Et ce sont les stations les plus petites qui trinquent.