“Sur quoi se base la NSA pour affirmer cela ? En pratique… sur rien, ou presque. Et les déclarations de M. Rogers sont en partie contradictoires avec les constatations des enquêteurs français. Les traces de communication retrouvées par les enquêteurs le jour du 13 novembre montrent, au contraire, qu’au moins un des assaillants du Bataclan a envoyé, juste avant l’attaque, un SMS « classique » – non chiffré – à un complice.”
“Sur quoi se base la NSA pour affirmer cela ? En pratique… sur rien, ou presque. Et les déclarations de M. Rogers sont en partie contradictoires avec les constatations des enquêteurs français. Les traces de communication retrouvées par les enquêteurs le jour du 13 novembre montrent, au contraire, qu’au moins un des assaillants du Bataclan a envoyé, juste avant l’attaque, un SMS « classique » – non chiffré – à un complice.”
Toujours bon à savoir.