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    je ne suis pas du tout, mais alors pas du tout d'accord avec l'auteur. Autant bien sûr l'idée de pouvoir lever de l'argent sans contrepartie peut paraître pratique sur la réalisation d'une tâche qui sera elle-même directement la contrepartie de l'argent versé, autant cela a donné des catastrophes en terme de financement participatif qui sont déjà très peu contraints en terme de contrepartie envers les donateurs.

    Pour moi l'enseignement du financement participatif jusqu'ici indique bien qu'il serait temps d'au contraire renforcer les contrôles sur les personnes chargées de réaliser l'objectif.

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      Samedi dernier, une de mes copines me parlait qu'elle avait investit dans une ferme biologique il y a une quinzaine d'années et était propriétaire d'une part virtuelle. Dès le départ, le contrat était clair : c'était un soutien point bar.

      Là où je te rejoins c'est lorsque le projet est simplement irréaliste ou simplement mal structuré ou tout simplement inutile mais tellement bien présenté.

      Sinon pour moi le financement participatif c'est le capital risque du pauvre ! Pour une fois les riches comme les pauvres sont à égalité (:-))

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      Quelle différence avec les cagnottes type Leetchi ?