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    La peinture semble encore très fraîche, je vois un gros batch d’articles il y a 5 jours. Bonne chance @Mediashare c’est une bonne idée de proposer plusieurs canaux pour partager des informations.

    Tcho !

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      Merci pour ce commentaire ! Tu as totalement raison sur le partage des alternatives. C’est une piste suivie depuis un moment, mais c’est manifestement insuffisant. On a trop compté sur la capacité des gens à s’auto-réguler, maintenant ils sont trop assistés par les entreprises commerciales pour se débrouiller “seuls” avec des alternatives :(

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        Le biais peut être perçu dans l’autre sens : la nouvelle génération n’ayant pas connu le passé peut le rejeter par méconnaissance. C’est d’ailleurs valable dans n’importe quel domaine, pas seulement l’informatique, mais aussi dans les sciences sociales.

        J’assume être un vieux con dès le début de l’article, donc quelque part j’assume le biais dont tu parles :D

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          Je me demande s’il n’y aurait pas aussi un biais de l’âge ? Est-ce que le sommet de la courbe n’intervient pas vers la vingtaine ?

          C’est la période où l’on découvre tout un tas de trucs en début de vie d’adulte puis le prisme du boulot fait qu’on remarque bien plus tout l’aspect commercial/business de l’informatique est au final bien puant. Tout ce qu’il y avait avant n’est pas trop entâché par ce point de vue, combiné avec un biais du survivant qui fait que l’on ne connait pas tout un tas de choses pas top qui on depuis disparue…

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            C’est une belle critique du capitalisme, et je partage certains des points de vue abordés.

            Une chose intéressante à faire pour sortir des gafam (ou plus localement pour sortir de la mainmise des réseaux sociaux les plus gros sur notre manière d’aborder l’information) est aussi de partager des alternatives (que ce soient des outils, des articles ou des réseaux), et le journal du hacker y contribue grandement. Grâce à lui (et à hacker news aussi), j’ai pu trouver des tas d’articles intéressants écrits par des personnes intéressantes, dont les sites web contiennent des liens vers d’autres articles et personnes intéressants.

            Un autre exemple récent est spacehey, ce clone de myspace où il n’y a pas d’algorithmes qui proposent du contenu (Orel en avait parlé il y a quelques mois).

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              Très bon article, merci.

              J’aime bien la relecture de code comme exercice. C’est très révélateur, c’est rapide et ça reste ouvert.

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                Haha c’est vrai que… :P

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                  PS: l’intention de cet article est de montrer qu’on peut arriver à une mise en forme de facture satisfaisante avec peu de code

                  J’avais compris, et j’ai hésité avant de poster le commentaire. Si le blog était tenu par un artisan indépendant qui a trouvé avec Latex une solutiion pour éditer ses factures maisons je n’aurait pas peut-etre pas envoyé mon commentaire de la meme façon. Là j’ai vu que tu étais un dev en c++/python alors je me suis laché :)

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                    Si ça c’est pas meta :’-D !

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                      Il est évident qu’un tel « attentat » va à l’encontre des conditions d’utilisation de GitHub.

                      Heuuu, j’ai jamais lu les conditions d’utilisations de GitHub, mais le fait de modifier son propre code et de publier cette modification va à l’encontre des conditions de GitHub ? o____O

                      Le pauvre mec a modifié son code et pousser sur son repo hébergé par Github, rien de plus. Si derrière son code est utilisé sans tests ni rien c’est pas son souci et je doute que ça puisse aller à l’encontre de quelque CGU que ce soit.

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                        Tout à fait d’accord, je vais ajouter une section ajout de macros LaTeX et séparer la template en deux fichiers, le contenu de la facture et les macros

                        Merci pour ton retour pertinent

                        PS: l’intention de cet article est de montrer qu’on peut arriver à une mise en forme de facture satisfaisante avec peu de code

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                          Latex est très bien pour faire ce genre de chose, le problème est qu’il n’oblige pas à séparer le fond de la forme. Dès lors que l’on retrouve du texte qui se mélange avec des commandes latex, c’est qu’on a manqué quelque-chose. Bien sur, cela fonctionne et le résultat est là, mais ça n’est pas maintenable : on est obligé d’aller modifier le “code latex” si l’on veut modifier le document, et pire, si l’on veut apporter une correction sur le modèle, on est obligé d’aller modifier tous les fichiers dont il est dérivé (alors qu’en faisant un \input{mon_template.tex} en début de fichier on peut versionner le template et le mettre à jour indépendament du document)

                          Aujourd’hui, je suis partisant d’une séparation complète entre :

                          • le texte (qui peut etre généré à l’aide d’un langage de balisage — avec une sortie Latex)
                          • le template latex (qui se présente sous la forme de macro latex qui viennent s’appliquer qui sont appelées à partir du texte).

                          C’est comme le code, on peut choisir de tout coder dans le main… mais c’est plus propre de séparer les classes :)

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                            J’ai vraiment que le web3 c’est juste une idée de gugusse qui font de la cryptomonnaie et qui n’y voit qu’un éventuel nouveau moyen de se faire du pognon. Le minage de crypto monnaie devient impossible pour un nouvel entrant sans d’importants fonds, les NFT n’ont probablement pas d’avenir à plus ou moins long terme du coup ils trouvent un nouveau moyen de créer du pognon avec du vent et c’est leur nouvelle idée.

                            Ouai j’en ai pas une bonne opinion…

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                              Ubuntu avec flatpak plutôt que snap, ça fait rêver !

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                                C’est rarissime d’avoir un modèle économique basé sur un logiciel libre, GPL. On voit l’importance de la politique pour cela.

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                                  Personnellement, je ne vois pas l’intérêt à part ajouter un risque sécurité. Chimrod a raison d’être prudent. D’autant plus que si je comprends bien le programme, il laisse des connexions ouvertes.

                                  Pour sécuriser mes démons ssh je fais :

                                  • changement de port
                                  • liste très resteinte d’utilisateur autorisé à se connecter (1 voir 2)
                                  • certificat

                                  Avec ça on est déjà à l’abri de pas mal de choses.

                                  Et si on veut aller plus loin, on ajoute du port knocking pour eviter les vulnérabilités liés au démon ssh lui-même.

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                                    Je comprend le principe, mais avant de laisser tourner un service sur le port 22, je préfère qu’il soit audité avant ! Aujourd’hui il est tellement facile de glisser une faille exploitable dans un code C, j’assume clairement être incapable de savoir si parmi les 800 lignes de code, il n’y a pas une porte ouverte !

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                                      D’hab je vais ça, si par exemple le volume fait 10G

                                      dd bs=4M if=/dev/source | pv -s 10G -pe | dd bs=4M of=/dev/dest

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                                        Peux-tu partager ton usage de pv et dd ?

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                                          Très pertinent, surtout la partie W^J.